Abidjan- Pour pallier les problèmes d’insécurité récurrents dans les zones de productions de café-cacao dont sont l’objet les opérateurs économiques de la filière à chaque campagne, Le Conseil du Café-Cacao initie du 17 au 18 janvier à Yamoussoukro, un atelier de réflexion sur le renforcement de la sécurité dans ces zones.
Il s’agira pour Le Conseil du Café-Cacao de mener la réflexion sur le renforcement du dispositif sécuritaire face aux cas d’agressions à main armée, détournements de cargaisons de produits et escroqueries, causant parfois des pertes en vies humaines enregistrés dans ces zones, rapporte une note d’information de l’organe de régulation transmise lundi à l’AIP.
Cet atelier aura également pour but d’identifier entre autres les différentes formes d’insécurités auxquelles sont exposés les acteurs de la filière café-cacao et proposer des solutions pour le renforcement durable du dispositif sécuritaire sur l’ensemble des zones de transaction du café et du cacao.
Prendront part à cette activité, les acteurs de la commercialisation du café et du cacao, les autorités locales de Yamoussoukro, les forces de l’ordre et les représentants de l’Etat.
« Ces dispositions sont donc prises à l’effet de permettre aux opérateurs de la filière café-cacao de vaquer librement et sans crainte à leurs occupations », conclut la note.
cmas
Il s’agira pour Le Conseil du Café-Cacao de mener la réflexion sur le renforcement du dispositif sécuritaire face aux cas d’agressions à main armée, détournements de cargaisons de produits et escroqueries, causant parfois des pertes en vies humaines enregistrés dans ces zones, rapporte une note d’information de l’organe de régulation transmise lundi à l’AIP.
Cet atelier aura également pour but d’identifier entre autres les différentes formes d’insécurités auxquelles sont exposés les acteurs de la filière café-cacao et proposer des solutions pour le renforcement durable du dispositif sécuritaire sur l’ensemble des zones de transaction du café et du cacao.
Prendront part à cette activité, les acteurs de la commercialisation du café et du cacao, les autorités locales de Yamoussoukro, les forces de l’ordre et les représentants de l’Etat.
« Ces dispositions sont donc prises à l’effet de permettre aux opérateurs de la filière café-cacao de vaquer librement et sans crainte à leurs occupations », conclut la note.
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