Abidjan - D’importants travaux sont engagés au Port autonome d’Abidjan (PAA) et celui de San-Pedro en vue d’accroitre la compétitivité de ces infrastructures, a indiqué le ministre des Transports, Amadou Koné, mercredi, à Abidjan.
Recevant les vœux de nouvel an de ces collaborateurs au cours d’une cérémonie, le ministre a précisé que le 10 septembre 2018, à Abidjan, un accord de financement de 217 milliards de francs CFA relatif au Projet d’intégration port ville du grand Abidjan (PIDU) a été signé avec la Banque mondiale.
Il vise à favoriser l’intégration du PAA dans la ville et l’accessibilité urbaine dans le grand Abidjan.
Selon le ministre, à travers d’importants chantiers, le port d’Abidjan est en passe d’accroître sa compétitivité à savoir l’élargissement et l’approfondissement du canal de Vridi dont les travaux sont achevés.
Ce projet, a-t-il insisté, va permettre au Port d’Abidjan d’accueillir tout type de navire notamment des navires de plus de 260 mètres de long, la mise en service, le 15 mars 2018 du nouveau quai roulier long de 300 mètres avec un tirant de 14 mètres.
Le ministre Amadou Koné a souligné que les chantiers d’optimisation spatiale d’un coût estimé à 560 milliards de francs CFA se poursuivent avec le remblai de plus de 400 hectares destinés à l’implantation des industries et entrepôts.
En ce qui concerne le Port autonome de San Pedro, a-t-il expliqué, les investissements engagés en 2018 pour un montant de 3,7 milliards de francs CFA concernent principalement les travaux de remblaiement du domaine portuaire, de la réhabilitation de voiries intérieures et de bâtiments commerciaux, du déploiement du schéma directeur informatique ainsi que des études relatives au projet d’extension du port de San Pedro.
En 2019, a promis le ministre des transports, il sera procédé au lancement des travaux de modernisation et d’extension du port de San Pedro pour un coût global d’environ 200 milliards de francs CFA.
Pour lui, ce projet classera le Port de San Pedro parmi les principaux ports en eau profonde de la Côte Ouest africaine, capable d’accueillir des navires de dernière génération d’une capacité de 14.500 EVP et les dispositions prises permettront de traiter, en 2019, un million de tonnes de nickel.
bsp/fmo
Recevant les vœux de nouvel an de ces collaborateurs au cours d’une cérémonie, le ministre a précisé que le 10 septembre 2018, à Abidjan, un accord de financement de 217 milliards de francs CFA relatif au Projet d’intégration port ville du grand Abidjan (PIDU) a été signé avec la Banque mondiale.
Il vise à favoriser l’intégration du PAA dans la ville et l’accessibilité urbaine dans le grand Abidjan.
Selon le ministre, à travers d’importants chantiers, le port d’Abidjan est en passe d’accroître sa compétitivité à savoir l’élargissement et l’approfondissement du canal de Vridi dont les travaux sont achevés.
Ce projet, a-t-il insisté, va permettre au Port d’Abidjan d’accueillir tout type de navire notamment des navires de plus de 260 mètres de long, la mise en service, le 15 mars 2018 du nouveau quai roulier long de 300 mètres avec un tirant de 14 mètres.
Le ministre Amadou Koné a souligné que les chantiers d’optimisation spatiale d’un coût estimé à 560 milliards de francs CFA se poursuivent avec le remblai de plus de 400 hectares destinés à l’implantation des industries et entrepôts.
En ce qui concerne le Port autonome de San Pedro, a-t-il expliqué, les investissements engagés en 2018 pour un montant de 3,7 milliards de francs CFA concernent principalement les travaux de remblaiement du domaine portuaire, de la réhabilitation de voiries intérieures et de bâtiments commerciaux, du déploiement du schéma directeur informatique ainsi que des études relatives au projet d’extension du port de San Pedro.
En 2019, a promis le ministre des transports, il sera procédé au lancement des travaux de modernisation et d’extension du port de San Pedro pour un coût global d’environ 200 milliards de francs CFA.
Pour lui, ce projet classera le Port de San Pedro parmi les principaux ports en eau profonde de la Côte Ouest africaine, capable d’accueillir des navires de dernière génération d’une capacité de 14.500 EVP et les dispositions prises permettront de traiter, en 2019, un million de tonnes de nickel.
bsp/fmo