Abidjan - Le ministre des Transports, Amadou Koné, a annoncé, mercredi, à Abidjan, d’importants projets d’extension et de réhabilitation des aéroports ivoiriens.
Réceptionnant les vœux de nouvel an de ses collaborateurs et monde du transport ivoirien, le ministre Amadou Koné a souligné que les travaux d’extension de l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan en cours vont permettre de le faire passer de deux à huit millions de passagers.
Cet aéroport qui compte aujourd’hui 2 187 868 passagers connaît depuis 2017, après la certification américaine TSA obtenue en 2015 d’importants travaux de réhabilitation, de modernisation et de développement.
Selon le ministre, ces efforts ont permis en 2017 à l’aéroport d’Abidjan, d’être classé au rang de premier aéroport de l’espace Union économique monétaire ouest africain (UEMOA) et de premier aéroport le plus sûr, sur 200 aéroports en Afrique.
«Toute chose qui a favorisé une liaison aérienne directe entre Abidjan et New York rétablie après 20 ans d'interruption, par un vol inaugural qui a décollé le samedi 12 mai 2018 », a détaillé le ministre.
Il a précisé que les travaux de modernisation devraient également multiplier par quatre la capacité de mouvements des avions et doter la Côte d'Ivoire d'un aéroport moderne pouvant accueillir 10 millions de passagers à l'horizon 2025.
Sur le plan domestique, a promis le ministre Amadou Koné, les travaux de réhabilitation et d’équipements continueront à être effectués sur les aéroports de Man, Odienné, Korhogo, Bouaké, San Pedro et Yamoussoukro au cours de l’année 2019.
De même, il est prévu la réalisation des aéroports de Kong et Séguéla.
Le ministre a souligné que les investissements continueront, en partenariat avec un certain nombre de partenaires notamment Airbus, avec qui un mémorandum stratégique a été signé.
Au titre des grands défis, dans le domaine aérien, il s’agira pour lui de consolider les acquis, en termes d’infrastructures, mais aussi et surtout en termes de certification, (OACI et TSA), afin de pouvoir, dans un court délai, gravir d’autres échelons.
A cet effet, en 2019, le principal défi, a rassuré le ministre, sera de porter l’Autorité nationale de l’aviation civile (ANAC) en catégorie 1, selon les normes de l’Administration Fédérale Américaine de l’Aviation Civile (FAA).
bsp/fmo
Réceptionnant les vœux de nouvel an de ses collaborateurs et monde du transport ivoirien, le ministre Amadou Koné a souligné que les travaux d’extension de l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan en cours vont permettre de le faire passer de deux à huit millions de passagers.
Cet aéroport qui compte aujourd’hui 2 187 868 passagers connaît depuis 2017, après la certification américaine TSA obtenue en 2015 d’importants travaux de réhabilitation, de modernisation et de développement.
Selon le ministre, ces efforts ont permis en 2017 à l’aéroport d’Abidjan, d’être classé au rang de premier aéroport de l’espace Union économique monétaire ouest africain (UEMOA) et de premier aéroport le plus sûr, sur 200 aéroports en Afrique.
«Toute chose qui a favorisé une liaison aérienne directe entre Abidjan et New York rétablie après 20 ans d'interruption, par un vol inaugural qui a décollé le samedi 12 mai 2018 », a détaillé le ministre.
Il a précisé que les travaux de modernisation devraient également multiplier par quatre la capacité de mouvements des avions et doter la Côte d'Ivoire d'un aéroport moderne pouvant accueillir 10 millions de passagers à l'horizon 2025.
Sur le plan domestique, a promis le ministre Amadou Koné, les travaux de réhabilitation et d’équipements continueront à être effectués sur les aéroports de Man, Odienné, Korhogo, Bouaké, San Pedro et Yamoussoukro au cours de l’année 2019.
De même, il est prévu la réalisation des aéroports de Kong et Séguéla.
Le ministre a souligné que les investissements continueront, en partenariat avec un certain nombre de partenaires notamment Airbus, avec qui un mémorandum stratégique a été signé.
Au titre des grands défis, dans le domaine aérien, il s’agira pour lui de consolider les acquis, en termes d’infrastructures, mais aussi et surtout en termes de certification, (OACI et TSA), afin de pouvoir, dans un court délai, gravir d’autres échelons.
A cet effet, en 2019, le principal défi, a rassuré le ministre, sera de porter l’Autorité nationale de l’aviation civile (ANAC) en catégorie 1, selon les normes de l’Administration Fédérale Américaine de l’Aviation Civile (FAA).
bsp/fmo