Abidjan (Côte d’Ivoire) - Près de 40% des entreprises privées créées en Côte d’Ivoire «aujourd’hui», ont été mises en place par des jeunes de moins de 35 ans, a révélé jeudi à Abidjan, le Secrétaire d’État auprès du Premier ministre chargé de la promotion de l’investissement privé, Emmanuel Esmel Essis.
« Ce qui est important, c’est que nos statistiques indiquent qu’aujourd’hui près de 40% des entreprises privées ont été créées par des jeunes de moins de 35 ans. Et ça, c’est un très bon signe car cela signifie que les jeunes sont en train de se mettre de plus en plus en position d’entrepreneur», s’est satisfait M. Essis lors d’un forum sur le thème « Entrepreneuriat et incitation fiscale ».
Il s’exprimait à la « tribune de l’Agence ivoirienne de presse » (AIP), un forum d’échanges et d’informations sur l’actualité nationale et internationale, en compagnie de son collègue, Sidi Touré, le ministre ivoirien de la communication et des médias.
Selon M. Essis, « il est possible de se réaliser en Côte d’Ivoire parce que les dispositifs existent ». «Les dispositifs institutionnels existent avec des structures comme le Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire ( CEPICI), L’institut ivoirien de l’entreprise (INIE) et l’agence Côte d’Ivoire PME ».
« Il suffit pour les jeunes et les femmes d’approcher ces institutions. Le gouvernement appelle les jeunes à cultiver l’esprit entrepreneuriale », a ajouté M. Essis, soulignant que son département ministériel travaille à l’amélioration de l’employabilité des jeunes.
Poursuivant, il a déploré le fait que les entrepreneurs ivoiriens n’utilisent pas suffisamment le nouveau code des investissements du pays qui contient pourtant de nombreuses avancées au bénéfice des opérateurs économiques.
« Ce nouveau code des investissement fait la place à l’initiative privée. Tout investissement, même de 200.000 FCFA est éligible au code des investissements en Côte d’Ivoire», a-t-il fait savoir rappelant que pour les deux prochaines années, le président ivoirien. Alassane Ouattara a instruit son gouvernement afin que l’accent soit mis sur le social.
« L’idée dans le nouveau code des investissements, c’est de rendre efficace l’utilisation de la dépense fiscale », a dit M. Essis parlant des incitations fiscales à l’investissement en Côte d’Ivoire.
« Nous sommes passés de 200 à 300 milliards FCFA à peu près d’investissements agréés il y a quatre ans à 700 milliards FCFA en 2018», a-t-il par ailleurs souligné, insistant que le gouvernement a mis en place des mesures d’incitation fiscale.
« L’entrepreneuriat se porte bien en Côte d’Ivoire. Mais, il y a encore des poches d’amélioration. l’État veut toucher l’Ivoirien dans son quotidien et le gouvernement y travaille », a assuré le secrétaire d’État appelant les jeunes à s’investir davantage dans « l’emploi entrepreneurial ».
LB/ls
« Ce qui est important, c’est que nos statistiques indiquent qu’aujourd’hui près de 40% des entreprises privées ont été créées par des jeunes de moins de 35 ans. Et ça, c’est un très bon signe car cela signifie que les jeunes sont en train de se mettre de plus en plus en position d’entrepreneur», s’est satisfait M. Essis lors d’un forum sur le thème « Entrepreneuriat et incitation fiscale ».
Il s’exprimait à la « tribune de l’Agence ivoirienne de presse » (AIP), un forum d’échanges et d’informations sur l’actualité nationale et internationale, en compagnie de son collègue, Sidi Touré, le ministre ivoirien de la communication et des médias.
Selon M. Essis, « il est possible de se réaliser en Côte d’Ivoire parce que les dispositifs existent ». «Les dispositifs institutionnels existent avec des structures comme le Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire ( CEPICI), L’institut ivoirien de l’entreprise (INIE) et l’agence Côte d’Ivoire PME ».
« Il suffit pour les jeunes et les femmes d’approcher ces institutions. Le gouvernement appelle les jeunes à cultiver l’esprit entrepreneuriale », a ajouté M. Essis, soulignant que son département ministériel travaille à l’amélioration de l’employabilité des jeunes.
Poursuivant, il a déploré le fait que les entrepreneurs ivoiriens n’utilisent pas suffisamment le nouveau code des investissements du pays qui contient pourtant de nombreuses avancées au bénéfice des opérateurs économiques.
« Ce nouveau code des investissement fait la place à l’initiative privée. Tout investissement, même de 200.000 FCFA est éligible au code des investissements en Côte d’Ivoire», a-t-il fait savoir rappelant que pour les deux prochaines années, le président ivoirien. Alassane Ouattara a instruit son gouvernement afin que l’accent soit mis sur le social.
« L’idée dans le nouveau code des investissements, c’est de rendre efficace l’utilisation de la dépense fiscale », a dit M. Essis parlant des incitations fiscales à l’investissement en Côte d’Ivoire.
« Nous sommes passés de 200 à 300 milliards FCFA à peu près d’investissements agréés il y a quatre ans à 700 milliards FCFA en 2018», a-t-il par ailleurs souligné, insistant que le gouvernement a mis en place des mesures d’incitation fiscale.
« L’entrepreneuriat se porte bien en Côte d’Ivoire. Mais, il y a encore des poches d’amélioration. l’État veut toucher l’Ivoirien dans son quotidien et le gouvernement y travaille », a assuré le secrétaire d’État appelant les jeunes à s’investir davantage dans « l’emploi entrepreneurial ».
LB/ls