Les volumes globaux des échanges commerciaux entre la Côte d’Ivoire et l’Union européenne ( UE), l’un des partenaires économique et politique « privilégié » du pays, sont passés de 2800 milliards FCFA en 2011 à plus de 4457 milliards FCFA en 2017, soit une progression de 51% sur la période, a appris APA jeudi de source officielle dans la capitale économique ivoirienne.
« Les volumes globaux des échanges entre la Côte d’Ivoire et l’UE sont passés de 2800 milliards FCFA en 2011 à plus de 4457 milliards FCFA en 2017, soit une progression de 51% sur la période. En 2017, 46,7% des exportations ivoiriennes ont été dirigées vers les pays de l’UE tandis que 44, 8% de nos importations provenaient des pays de l’UE », a révélé le chef du gouvernement ivoirien, Amadou Gon Coulibaly qui s’exprimait dans un discours lors d’une rencontre de « haut niveau » entre le gouvernement ivoirien et l’UE marquant la « relance officielle et formelle» du dialogue politique entre les deux parties après trois ans d’interruption.
Saluant l’engagement des pays de l’UE à accompagner la Côte d’Ivoire, M. Coulibaly a passé en revue les performances économiques de son pays qui a eu une croissance économique moyenne annuelle de plus de 8% sur la période 2012-2018.
Poursuivant l’énumération des bons points de la transformation structurelle de l’économie ivoirienne ces dernières années, le premier ministre a fait savoir que de 2012 à 2017, la part du secteur primaire au Produit intérieur brut (PIB) s’est réduite, passant de 22,2% à 20,1%.
« La part du secteur secondaire par contre s’est améliorée sur la même période passant de 24% à 27,8% et celle du secteur tertiaire dans le PIB est passé de 31% à 32,7%», a-t-il ajouté. Au-delà de cette forte progression économique, la Côte d’Ivoire, a souligné M. Coulibaly, se penche de en plus en plus sur la « dimension sociale de la croissance».
C’est pourquoi dira-t-il, l’année 2019, a été décrétée comme « l’année du social » par le président ivoirien, Alassane Ouattara. « Nous voulons vous accompagner dans votre marche vers l’émergence. Nous voulons que la Côte d’Ivoire reste le moteur de la sous-région ouest-africaine», a indiqué à son tour, Jobst Von Kirchmann, l’ambassadeur de l’UE en Côte d’Ivoire, relevant un « niveau de croissance spectaculaire » du pays.
« On s’est mis d’accord pour que ce soit un dialogue en permanence. Donc nous aurons un deuxième dialogue politique avec le gouvernement ivoirien en mars prochain et un autre à la fin de l’année. On partage la même chose avec la Côte d’Ivoire et nous voulons plus d’investissement et de croissance pour ce pays », a conclu le diplomate européen au terme de la rencontre avec le gouvernement ivoirien qui a duré plus de deux heures.
LB/ls/APA
« Les volumes globaux des échanges entre la Côte d’Ivoire et l’UE sont passés de 2800 milliards FCFA en 2011 à plus de 4457 milliards FCFA en 2017, soit une progression de 51% sur la période. En 2017, 46,7% des exportations ivoiriennes ont été dirigées vers les pays de l’UE tandis que 44, 8% de nos importations provenaient des pays de l’UE », a révélé le chef du gouvernement ivoirien, Amadou Gon Coulibaly qui s’exprimait dans un discours lors d’une rencontre de « haut niveau » entre le gouvernement ivoirien et l’UE marquant la « relance officielle et formelle» du dialogue politique entre les deux parties après trois ans d’interruption.
Saluant l’engagement des pays de l’UE à accompagner la Côte d’Ivoire, M. Coulibaly a passé en revue les performances économiques de son pays qui a eu une croissance économique moyenne annuelle de plus de 8% sur la période 2012-2018.
Poursuivant l’énumération des bons points de la transformation structurelle de l’économie ivoirienne ces dernières années, le premier ministre a fait savoir que de 2012 à 2017, la part du secteur primaire au Produit intérieur brut (PIB) s’est réduite, passant de 22,2% à 20,1%.
« La part du secteur secondaire par contre s’est améliorée sur la même période passant de 24% à 27,8% et celle du secteur tertiaire dans le PIB est passé de 31% à 32,7%», a-t-il ajouté. Au-delà de cette forte progression économique, la Côte d’Ivoire, a souligné M. Coulibaly, se penche de en plus en plus sur la « dimension sociale de la croissance».
C’est pourquoi dira-t-il, l’année 2019, a été décrétée comme « l’année du social » par le président ivoirien, Alassane Ouattara. « Nous voulons vous accompagner dans votre marche vers l’émergence. Nous voulons que la Côte d’Ivoire reste le moteur de la sous-région ouest-africaine», a indiqué à son tour, Jobst Von Kirchmann, l’ambassadeur de l’UE en Côte d’Ivoire, relevant un « niveau de croissance spectaculaire » du pays.
« On s’est mis d’accord pour que ce soit un dialogue en permanence. Donc nous aurons un deuxième dialogue politique avec le gouvernement ivoirien en mars prochain et un autre à la fin de l’année. On partage la même chose avec la Côte d’Ivoire et nous voulons plus d’investissement et de croissance pour ce pays », a conclu le diplomate européen au terme de la rencontre avec le gouvernement ivoirien qui a duré plus de deux heures.
LB/ls/APA