La ministre du Plan et du Développement, Kaba Nialé a procédé à l’ouverture d’un atelier de haut niveau sur la mise en œuvre de l’agenda 2063 de l’Union africaine et de son premier plan décennal, ce jeudi 24 janvier dans la capitale économique Abidjan.
Redynamiser la plateforme de collaboration entre les acteurs clés du cadre de suivi évaluation et de préparer le rapport du Champion sur le suivi de la mise en œuvre de l’agenda de 2063, tel est l’objectif de cet atelier qui se déroulera sur deux jours.
Organisé par le Ministère du Plan et du Développement en collaboration avec la Commission de l’Union Africaine cet atelier de haut niveau sera meublé de plusieurs sessions avec des échanges. Ainsi, venus de plusieurs pays, les experts et Directeurs issus des organisations régionales et internationales de développement et des Communautés Économiques Régionales tableront sur des thématiques en allant dans le sens du suivi de la mise en œuvre de l’agenda 2063.
Dans son allocution d’ouverture, Kaba Nialé, ministre du Plan et du Développement a rappelé et salué la désignation du président Alassane Ouattara par ses pairs comme le « Champion pour le suivi de la mise en œuvre de l’Agenda 2063 lors du 28e sommet ordinaire de l’Union africaine tenu en janvier 2017 ». Pour la ministre du Plan et du Développement, c’est la traduction éloquente des avancées économiques et sociales enregistrées au cours de ces dernières années. Après avoir indiqué que les agendas servent de cadre pour la transformation structurelle et les politiques de développement durable sur le continent, ils ne devraient pas souffrir d’un manque d’approbation nationale, de coordination de mécanismes de Suivi et d’Évaluation, ou encore de stratégies de financement bien définies. « L’agenda 2063 qui a été élaboré à l’issue d’une consultation populaire continentale capitalise les aspirations profondes des populations africaines dans toutes leurs composantes, et ce, dans l’optique d’assurer la transformation structurelle des économies et d’améliorer les conditions de vie des populations » a-t-elle martelé.
Bien avant, Tordeta Rateba, directeur de cabinet adjoint du président de la Commission de l’Union Africaine, lors de l’ouverture de cet atelier a invité ses collègues à travailler à l’élaboration sinon à la relecture du rapport de mise en œuvre de cet important Agenda à la 32e session de la Conférence des Chefs d’Etats et de Gouvernement, qui aura lieu les 10 et 11 février 2019 à Addis-Abeba en Ethiopie. Selon lui, l’Agenda 2063 est avant tout une planification stratégique sur le temps long. À en croire le représentant du président de la CUA, l’Agenda couvre une période de 50 ans. Cinquante années au cours desquelles l’Afrique sera confronté à l’impérieuse nécessité de se doter de tous les moyens requis pour produire plus de richesses et les répartir sur une base d’équité. Ainsi, le secteur privé, créateur de richesses à travers les productions des biens et des services a été intimement associé à la conception de l’Agenda 2063.
CK
Redynamiser la plateforme de collaboration entre les acteurs clés du cadre de suivi évaluation et de préparer le rapport du Champion sur le suivi de la mise en œuvre de l’agenda de 2063, tel est l’objectif de cet atelier qui se déroulera sur deux jours.
Organisé par le Ministère du Plan et du Développement en collaboration avec la Commission de l’Union Africaine cet atelier de haut niveau sera meublé de plusieurs sessions avec des échanges. Ainsi, venus de plusieurs pays, les experts et Directeurs issus des organisations régionales et internationales de développement et des Communautés Économiques Régionales tableront sur des thématiques en allant dans le sens du suivi de la mise en œuvre de l’agenda 2063.
Dans son allocution d’ouverture, Kaba Nialé, ministre du Plan et du Développement a rappelé et salué la désignation du président Alassane Ouattara par ses pairs comme le « Champion pour le suivi de la mise en œuvre de l’Agenda 2063 lors du 28e sommet ordinaire de l’Union africaine tenu en janvier 2017 ». Pour la ministre du Plan et du Développement, c’est la traduction éloquente des avancées économiques et sociales enregistrées au cours de ces dernières années. Après avoir indiqué que les agendas servent de cadre pour la transformation structurelle et les politiques de développement durable sur le continent, ils ne devraient pas souffrir d’un manque d’approbation nationale, de coordination de mécanismes de Suivi et d’Évaluation, ou encore de stratégies de financement bien définies. « L’agenda 2063 qui a été élaboré à l’issue d’une consultation populaire continentale capitalise les aspirations profondes des populations africaines dans toutes leurs composantes, et ce, dans l’optique d’assurer la transformation structurelle des économies et d’améliorer les conditions de vie des populations » a-t-elle martelé.
Bien avant, Tordeta Rateba, directeur de cabinet adjoint du président de la Commission de l’Union Africaine, lors de l’ouverture de cet atelier a invité ses collègues à travailler à l’élaboration sinon à la relecture du rapport de mise en œuvre de cet important Agenda à la 32e session de la Conférence des Chefs d’Etats et de Gouvernement, qui aura lieu les 10 et 11 février 2019 à Addis-Abeba en Ethiopie. Selon lui, l’Agenda 2063 est avant tout une planification stratégique sur le temps long. À en croire le représentant du président de la CUA, l’Agenda couvre une période de 50 ans. Cinquante années au cours desquelles l’Afrique sera confronté à l’impérieuse nécessité de se doter de tous les moyens requis pour produire plus de richesses et les répartir sur une base d’équité. Ainsi, le secteur privé, créateur de richesses à travers les productions des biens et des services a été intimement associé à la conception de l’Agenda 2063.
CK