Abidjan- Le ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba a procédé au lancement du projet de promotion de la compétitivité de la chaîne de valeur de l’anacarde (PPCA) devant générer près de 440.000 emplois.
En plus des emplois, la formation des producteurs pour améliorer le rendement des exploitations et les transformer en de véritables entrepreneurs agricoles est d’ailleurs l’un des grands enjeux du projet qui est financé à hauteur de 107 milliards sur cinq ans (2018-2023) par la Banque mondiale, en vue d’une meilleure rentabilité de la filière.
Selon le ministre, le gouvernement projette la création et l’exploitation de quatre zones agro industrielles à Bondoukou, Bouaké, Korhogo et Séguéla, qui vont transformer 200 000 T en plus.
Le coordonnateur du PPCA, Dr Adama Coulibaly, par ailleurs le directeur du Conseil du coton et de l’anacarde, pour sa part, a expliqué que le projet de promotion de la compétitivité de la chaîne de valeur de l’anacarde vise à accroître la productivité des noix brutes du cajou au niveau des exploitations, à améliorer la qualité et réduire les coûts de collecte et de regroupement.
Il vise également à accélérer l’investissement privé dans les nouvelles capacités de stockage et de transformation (y compris les sous-produits) en facilitant l’accès au financement et en améliorant le cadre politique et réglementaire pour le développement durable de la chaîne de valeur de l’anacarde.
« Pour l’accès au marché des noix brutes de cajou, il est prévu de réhabiliter et d’entretenir 2100 km de routes rurales pour faciliter l’évacuation des produits vers les magasins de l’intérieur. Sans oublier de renforcer le dispositif de traçabilité et de contrôle qualité pour créer de bonnes conditions de mise à marché », a-t-il annoncé.
La Côte d'Ivoire, premier producteur mondial d’anacarde, a atteint par ailleurs un taux de transformation de 10% en 2018. La production de noix de cajou dans le pays a connu ces dernières années, une progression importante, passant de 400.000 tonnes en 2011 à plus de 760.000 tonnes en 2018, soit une hausse de près de 100%.
tg/ask
En plus des emplois, la formation des producteurs pour améliorer le rendement des exploitations et les transformer en de véritables entrepreneurs agricoles est d’ailleurs l’un des grands enjeux du projet qui est financé à hauteur de 107 milliards sur cinq ans (2018-2023) par la Banque mondiale, en vue d’une meilleure rentabilité de la filière.
Selon le ministre, le gouvernement projette la création et l’exploitation de quatre zones agro industrielles à Bondoukou, Bouaké, Korhogo et Séguéla, qui vont transformer 200 000 T en plus.
Le coordonnateur du PPCA, Dr Adama Coulibaly, par ailleurs le directeur du Conseil du coton et de l’anacarde, pour sa part, a expliqué que le projet de promotion de la compétitivité de la chaîne de valeur de l’anacarde vise à accroître la productivité des noix brutes du cajou au niveau des exploitations, à améliorer la qualité et réduire les coûts de collecte et de regroupement.
Il vise également à accélérer l’investissement privé dans les nouvelles capacités de stockage et de transformation (y compris les sous-produits) en facilitant l’accès au financement et en améliorant le cadre politique et réglementaire pour le développement durable de la chaîne de valeur de l’anacarde.
« Pour l’accès au marché des noix brutes de cajou, il est prévu de réhabiliter et d’entretenir 2100 km de routes rurales pour faciliter l’évacuation des produits vers les magasins de l’intérieur. Sans oublier de renforcer le dispositif de traçabilité et de contrôle qualité pour créer de bonnes conditions de mise à marché », a-t-il annoncé.
La Côte d'Ivoire, premier producteur mondial d’anacarde, a atteint par ailleurs un taux de transformation de 10% en 2018. La production de noix de cajou dans le pays a connu ces dernières années, une progression importante, passant de 400.000 tonnes en 2011 à plus de 760.000 tonnes en 2018, soit une hausse de près de 100%.
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