Le président de l’Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), Traoré Moussa a plaidé ce lundi 28 janvier 2019, auprès du président de la République Alassane Ouattara, pour ‘’un plan ADO’’ visant à sauver les médias ivoiriens face à la situation de crise et de précarité à laquelle ils font face.
Traoré Moussa a dépeint une situation d’extrêmes difficultés dans laquelle se trouve un grand nombre d’entreprises de presse, caractérisée notamment par des licenciements de Journalistes, et des fermetures d’entreprises. Si les précédentes années ont été moins pénibles, celle de 2018 reste exceptionnelle en terme de difficultés, a relevé le président de l’UNJCI. La corporation a enregistré des décès dans ses rangs, avec la disparition du 29 au 30 juillet 2018 de 3 journalistes. Traoré Moussa a également évoqué les conditions de précarité dans lesquelles travaillent certains journalistes. ‘’Nous ne pouvons pas aller à l’émergence des journalistes handicapés’’, a dit le président de l’UNJCI.
Selon le Président des Journalistes, la survie des médias ivoiriens tient à un appui conséquent de l’Etat. D’où son appel au Chef de l’Etat pour la ré-institution et la revalorisation à la hausse de l’appui de 800 millions de F CFA décidés depuis quelques années par le président Alassane Ouattara.
En réponse, le Chef de l’Etat qui a félicité la presse pour l’amélioration dont elle a fait preuve en 2018 à travers ses contenus, s’est engagé à poursuivre son appui à la presse en 2019 afin de lui garantir son épanouissement et surtout la dignité des journalistes.
Elisée B.
Traoré Moussa a dépeint une situation d’extrêmes difficultés dans laquelle se trouve un grand nombre d’entreprises de presse, caractérisée notamment par des licenciements de Journalistes, et des fermetures d’entreprises. Si les précédentes années ont été moins pénibles, celle de 2018 reste exceptionnelle en terme de difficultés, a relevé le président de l’UNJCI. La corporation a enregistré des décès dans ses rangs, avec la disparition du 29 au 30 juillet 2018 de 3 journalistes. Traoré Moussa a également évoqué les conditions de précarité dans lesquelles travaillent certains journalistes. ‘’Nous ne pouvons pas aller à l’émergence des journalistes handicapés’’, a dit le président de l’UNJCI.
Selon le Président des Journalistes, la survie des médias ivoiriens tient à un appui conséquent de l’Etat. D’où son appel au Chef de l’Etat pour la ré-institution et la revalorisation à la hausse de l’appui de 800 millions de F CFA décidés depuis quelques années par le président Alassane Ouattara.
En réponse, le Chef de l’Etat qui a félicité la presse pour l’amélioration dont elle a fait preuve en 2018 à travers ses contenus, s’est engagé à poursuivre son appui à la presse en 2019 afin de lui garantir son épanouissement et surtout la dignité des journalistes.
Elisée B.