Bouaflé- Le ministre des Mines et de la Géologie, Jean-Claude Kouassi a procédé, lundi, au lancement du projet chantier école dans le secteur de la petite mine à Bozi, dans le département de Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué).
Ce projet a pour objectif notamment de dispenser une formation initiale et qualifiante aux jeunes Ivoiriens en vue de les doter du savoir, du savoir-faire et des qualifications professionnelles nécessaires pour opérer dans le secteur de la petite mine, dans le respect des potentialités de la Côte d’Ivoire et des exigences environnementales, fiscales et sociales.
Il s’agit également d’organiser des formations complémentaires au profit des détenteurs d’autorisations d’exploitation minière artisanale et semi-industrielle en activité ainsi que de promouvoir l’entrepreneuriat et développer la culture d’entreprise chez les Ivoiriens dans le secteur de la petite mine.
Ce projet qui s’étendra sur l’ensemble du territoire national avant la fin de l’année en cours, selon le ministre Kouassi permettra, à court terme, de contenir, de réduire sensiblement l’orpaillage clandestin et ses nocifs sur la santé et la sécurité des populations ainsi que sur l’environnement.
Il a invité la première promotion du projet chantier école de Bozi composée de 15 impétrants à être des modèles, à respecter leurs encadreurs, à suivre leurs conseils et à appliquer les connaissances acquises.
« Le gouvernement compte sur vous pour réussir cet essai et transformer qualitativement le secteur de la petite mine en Côte d’Ivoire pour en faire un secteur économique viable et profitable aux particuliers et aux entreprises qui s’y intéressent, une source de revenus pour l’Etat et un levier du développement communautaire au profit des populations riveraines des sites miniers », a-t-il conseillé.
Le ministre Jean Claude Kouassi a dit compter également sur l’expertise de la Société pour le développement minier (SODEMI) et l’adhésion des populations notamment les chefs traditionnels afin que ce projet soit couronné de succès.
Le ministre des Mines et de la Géologie, Jean-Claude Kouassi avait lancé les activités de la Brigade de répression des infractions au code minier (BRICM), en décembre 2018, rappelle-t-on.
ns/fmo
Ce projet a pour objectif notamment de dispenser une formation initiale et qualifiante aux jeunes Ivoiriens en vue de les doter du savoir, du savoir-faire et des qualifications professionnelles nécessaires pour opérer dans le secteur de la petite mine, dans le respect des potentialités de la Côte d’Ivoire et des exigences environnementales, fiscales et sociales.
Il s’agit également d’organiser des formations complémentaires au profit des détenteurs d’autorisations d’exploitation minière artisanale et semi-industrielle en activité ainsi que de promouvoir l’entrepreneuriat et développer la culture d’entreprise chez les Ivoiriens dans le secteur de la petite mine.
Ce projet qui s’étendra sur l’ensemble du territoire national avant la fin de l’année en cours, selon le ministre Kouassi permettra, à court terme, de contenir, de réduire sensiblement l’orpaillage clandestin et ses nocifs sur la santé et la sécurité des populations ainsi que sur l’environnement.
Il a invité la première promotion du projet chantier école de Bozi composée de 15 impétrants à être des modèles, à respecter leurs encadreurs, à suivre leurs conseils et à appliquer les connaissances acquises.
« Le gouvernement compte sur vous pour réussir cet essai et transformer qualitativement le secteur de la petite mine en Côte d’Ivoire pour en faire un secteur économique viable et profitable aux particuliers et aux entreprises qui s’y intéressent, une source de revenus pour l’Etat et un levier du développement communautaire au profit des populations riveraines des sites miniers », a-t-il conseillé.
Le ministre Jean Claude Kouassi a dit compter également sur l’expertise de la Société pour le développement minier (SODEMI) et l’adhésion des populations notamment les chefs traditionnels afin que ce projet soit couronné de succès.
Le ministre des Mines et de la Géologie, Jean-Claude Kouassi avait lancé les activités de la Brigade de répression des infractions au code minier (BRICM), en décembre 2018, rappelle-t-on.
ns/fmo