Abidjan- Un atelier de restitution des études préliminaires de l’autoroute Bouaké-frontière Burkina Faso et Mali d’un coût de 1,299 milliards F CFA s’est tenu mercredi à Abidjan, à l’initiative de l’Agence de gestion des routes (Ageroute).
Selon le Directeur général adjoint de l’Ageroute, Calixte Yapo, cette restitution ouvre le tracé optimal de la dite autoroute divisée en trois sections notamment Bouaké-Ferké : 250 km, Ferké-Burkina : 80 km, Ferké-Mali : 100 km soit un total de 430 km.
Il a souligné que le bureau d’étude a fait plusieurs variantes qui seront exposées et discutées au cours des travaux par les techniciens. Après de la rencontre, un rapport sera produit à l’attention des autorités.
«Lorsque les autorités donneront les instructions pour le tracé à retenir alors le cabinet va procéder à ce qu’on appelle l’étude d’avant projet détaillé. Cette étude prendra huit mois. Une fois ce projet terminé, nous allons élaborer les dossiers d’appel d’offre et de recherche de financement », a expliqué M. Yapo.
A l’en croire, c’est lorsque le financement du projet sera bouclé que l’exécution des travaux va commencer. Les études préliminaires sont menées par l’entreprise Scet-Tunisie, spécialisés dans l’ingénierie en Afrique.
Au nom du ministre de l’Equipement et de l’Entretien routier, le conseiller technique, Coulibaly Bê a encouragé les experts à faire des critiques en vue de tirer les meilleurs aspects. Il a réitéré la volonté du ministre pour la réalisation de cette importante infrastructure.
Aboubacar Sidiki Touré, chef de division de la commission terrestre l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), a quant à lui exprimé la volonté de l'institution d’accompagner l’intégration régionale, qui constitue l’un des volets du programme de développement des infrastructures de la sous-région ouest-africaine.
Fruit d’un Traité d’amitié et de coopération (TAC) entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, l’autoroute Yamoussoukro-Ouagadougou est une connexion routière devant permettre un transit amélioré des marchandises entre le port d’Abidjan et les pays de l’hinterland.
bsp/kam
Selon le Directeur général adjoint de l’Ageroute, Calixte Yapo, cette restitution ouvre le tracé optimal de la dite autoroute divisée en trois sections notamment Bouaké-Ferké : 250 km, Ferké-Burkina : 80 km, Ferké-Mali : 100 km soit un total de 430 km.
Il a souligné que le bureau d’étude a fait plusieurs variantes qui seront exposées et discutées au cours des travaux par les techniciens. Après de la rencontre, un rapport sera produit à l’attention des autorités.
«Lorsque les autorités donneront les instructions pour le tracé à retenir alors le cabinet va procéder à ce qu’on appelle l’étude d’avant projet détaillé. Cette étude prendra huit mois. Une fois ce projet terminé, nous allons élaborer les dossiers d’appel d’offre et de recherche de financement », a expliqué M. Yapo.
A l’en croire, c’est lorsque le financement du projet sera bouclé que l’exécution des travaux va commencer. Les études préliminaires sont menées par l’entreprise Scet-Tunisie, spécialisés dans l’ingénierie en Afrique.
Au nom du ministre de l’Equipement et de l’Entretien routier, le conseiller technique, Coulibaly Bê a encouragé les experts à faire des critiques en vue de tirer les meilleurs aspects. Il a réitéré la volonté du ministre pour la réalisation de cette importante infrastructure.
Aboubacar Sidiki Touré, chef de division de la commission terrestre l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), a quant à lui exprimé la volonté de l'institution d’accompagner l’intégration régionale, qui constitue l’un des volets du programme de développement des infrastructures de la sous-région ouest-africaine.
Fruit d’un Traité d’amitié et de coopération (TAC) entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, l’autoroute Yamoussoukro-Ouagadougou est une connexion routière devant permettre un transit amélioré des marchandises entre le port d’Abidjan et les pays de l’hinterland.
bsp/kam
