Abidjan, La bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) termine l’année 2018 dans une tendance baissière à l’instar de ses consœurs du monde entier, a révélé, mercredi, le directeur général de cette institution, Dr Edoh Kossi Amenounvé.
Faisant le bilan de l’année 2018, le directeur général de la BRVM a indiqué que ce ralentissement de l’activité boursière dans un environnement généralisé de baisse, est lié à l’environnement économique mondial mais également à des facteurs internes.
Selon Dr Edoh, les raisons internationales reposent sur de nombreuses incertitudes, entre autres la guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis, les questions de la dette de certains pays en Europe, le Brexit, etc.
Au niveau sous régional, les évolutions sur le code CIMA, l’application par les banques des accords Bâle 3, Bâle 4, l’affaire SAFCACAO, qui sont des perturbations réglementaires qui peuvent amener les investisseurs à être attentistes ou réviser leurs prévisions, a-t-il fait remarquer.
Ce sont les mêmes investisseurs internationaux qui investissent dans les pays développés, dans les pays émergents et en Afrique, a soutenu le directeur général de la BRVM soulignant une corrélation entre les bourses dans le monde entier.
«Les Etats-Unis dans le rouge, l’Europe dans le rouge, l’Asie quasiment dans le rouge » a noté Dr Edoh. « 2018 a été une année extrêmement difficile pour les bourses africaines », a-t-il ajouté précisant que toutes les bourses sont dans le rouge sauf quelques cas isolés.
Pour l’année 2018, la BRVM a enregistré neuf nouvelles opérations pour une levée de ressources de 834,2 milliards de francs. Avec 45 sociétés cotées, le marché des actions a enregistré 174 milliards en termes de transactions et 117 millions de titres échangés. Le marché obligataire termine avec 3.430 milliards de capitalisation. Ce sont au total, 713,2 milliards redistribués en 2018 dont 110,29 milliards en terme de dividendes.
(AIP)
kkf/tm
Faisant le bilan de l’année 2018, le directeur général de la BRVM a indiqué que ce ralentissement de l’activité boursière dans un environnement généralisé de baisse, est lié à l’environnement économique mondial mais également à des facteurs internes.
Selon Dr Edoh, les raisons internationales reposent sur de nombreuses incertitudes, entre autres la guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis, les questions de la dette de certains pays en Europe, le Brexit, etc.
Au niveau sous régional, les évolutions sur le code CIMA, l’application par les banques des accords Bâle 3, Bâle 4, l’affaire SAFCACAO, qui sont des perturbations réglementaires qui peuvent amener les investisseurs à être attentistes ou réviser leurs prévisions, a-t-il fait remarquer.
Ce sont les mêmes investisseurs internationaux qui investissent dans les pays développés, dans les pays émergents et en Afrique, a soutenu le directeur général de la BRVM soulignant une corrélation entre les bourses dans le monde entier.
«Les Etats-Unis dans le rouge, l’Europe dans le rouge, l’Asie quasiment dans le rouge » a noté Dr Edoh. « 2018 a été une année extrêmement difficile pour les bourses africaines », a-t-il ajouté précisant que toutes les bourses sont dans le rouge sauf quelques cas isolés.
Pour l’année 2018, la BRVM a enregistré neuf nouvelles opérations pour une levée de ressources de 834,2 milliards de francs. Avec 45 sociétés cotées, le marché des actions a enregistré 174 milliards en termes de transactions et 117 millions de titres échangés. Le marché obligataire termine avec 3.430 milliards de capitalisation. Ce sont au total, 713,2 milliards redistribués en 2018 dont 110,29 milliards en terme de dividendes.
(AIP)
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