Abidjan-Le président irakien a rejeté, l’idée du président américain, Donald Trump de surveiller l’Iran à partir de son pays.
"La Constitution irakienne rejette toute utilisation de l'Irak comme base pour frapper ou agresser un pays voisin", a indiqué lundi à Bagdad en Irak, le président irakien Barham Saleh, rapporte les médias occidentaux.
"Les forces américaines sont présentes en vertu de la loi et dans le cadre d'accords entre les deux pays, toute action menée hors de ce cadre est inacceptable", a-t-il ajouté.
Dimanche, dans un entretien avec la chaîne américaine CBS, le président américain a expliqué vouloir "garder" la base aérienne d'Aïn al-Assad pour "surveiller l'Iran", pays voisin de l’Irak, afin que selon lui, "si quelqu'un cherche à faire des armes nucléaires, nous allons le savoir avant qu'il le fasse".
Les forces américaines qui étaient au nombre de 170000 en Irak, s’étaient retirées en 2011 mais en 2014, elles sont revenues en 2014 avec pour mission d'aider les forces de sécurité irakiennes à lutter contre le terrorisme, note-t-on.
sdaf/tm
"La Constitution irakienne rejette toute utilisation de l'Irak comme base pour frapper ou agresser un pays voisin", a indiqué lundi à Bagdad en Irak, le président irakien Barham Saleh, rapporte les médias occidentaux.
"Les forces américaines sont présentes en vertu de la loi et dans le cadre d'accords entre les deux pays, toute action menée hors de ce cadre est inacceptable", a-t-il ajouté.
Dimanche, dans un entretien avec la chaîne américaine CBS, le président américain a expliqué vouloir "garder" la base aérienne d'Aïn al-Assad pour "surveiller l'Iran", pays voisin de l’Irak, afin que selon lui, "si quelqu'un cherche à faire des armes nucléaires, nous allons le savoir avant qu'il le fasse".
Les forces américaines qui étaient au nombre de 170000 en Irak, s’étaient retirées en 2011 mais en 2014, elles sont revenues en 2014 avec pour mission d'aider les forces de sécurité irakiennes à lutter contre le terrorisme, note-t-on.
sdaf/tm