Comment une femme qui connait la douleur de l’enfantement peut-elle se comporter ainsi ? Cette question revenait sur toutes les lèvres dans la salle d’audience. Au point que la condamnation de cette « tantie » sans cœur à trois mois de prison ferme a suscité des réactions de désapprobation.
La petite Awa, âgée seulement de cinq ans, est orpheline de mère. Son père qui est le neveu de Makoko (31 ans) pense bien faire en confiant sa fille à sa tante. En le faisant, pour permettre à sa fille de bénéficier de la tendresse et la chaleur d’une femme, d’une mère, était loin de s’imaginer qu’il jetait ainsi la pauvre petite innocente dans le feu de l’enfer sur terre.
Malgré son jeune âge, Awa est soumise aux travaux de la maison. Naturellement, elle ne peut être à la hauteur. C’est quotidiennement qu’elle est sévèrement battue. Le voisinage, témoin de cette maltraitance, contient sa colère et assiste impuissant aux sévices corporels subis par la gamine.
Le jour des faits qui ont conduit Makoko devant le tribunal, la petite Awa, « certainement malade, faisant une diarrhée…, selon le procureur », a le malheur de faire les selles dans son caleçon. Ouf, la petite n’aurait jamais commettre ce « crime » qui, dans la tête de Makoko, n’a jamais été commis par un enfant de cinq ans.
Comme un fauve, la tante indigne se jette sur la gamine, la roue de coups. Elle pousse le sadisme jusqu’ à mettre un couteau dans le feu et brûler la petite à plusieurs endroits de son corps.
La petite Awa, âgée seulement de cinq ans, est orpheline de mère. Son père qui est le neveu de Makoko (31 ans) pense bien faire en confiant sa fille à sa tante. En le faisant, pour permettre à sa fille de bénéficier de la tendresse et la chaleur d’une femme, d’une mère, était loin de s’imaginer qu’il jetait ainsi la pauvre petite innocente dans le feu de l’enfer sur terre.
Malgré son jeune âge, Awa est soumise aux travaux de la maison. Naturellement, elle ne peut être à la hauteur. C’est quotidiennement qu’elle est sévèrement battue. Le voisinage, témoin de cette maltraitance, contient sa colère et assiste impuissant aux sévices corporels subis par la gamine.
Le jour des faits qui ont conduit Makoko devant le tribunal, la petite Awa, « certainement malade, faisant une diarrhée…, selon le procureur », a le malheur de faire les selles dans son caleçon. Ouf, la petite n’aurait jamais commettre ce « crime » qui, dans la tête de Makoko, n’a jamais été commis par un enfant de cinq ans.
Comme un fauve, la tante indigne se jette sur la gamine, la roue de coups. Elle pousse le sadisme jusqu’ à mettre un couteau dans le feu et brûler la petite à plusieurs endroits de son corps.