Bouna, Les communautés du Bounkani ont été sensibilisées jeudi au foyer des jeunes de Bouna, sur les méfaits des mutilations génitales féminines.
La rencontre s'inscrivait dans le cadre de la commémoration de la journée mondiale de lutte contre les mutilations génitales féminines. Les autorités administratives, les leaders communautaires, les organisations féminines présentes à la cérémonie ont à travers la projection d'un film portant sur ce fléau, mesuré son ampleur. Elles ont souligné œuvrer pour l'éradication de cette pratique, à travers la dénonciation.
Les violences basées sont devenues depuis quelques années une préoccupation majeure de la communauté internationale. Parmi ces violences, l'on dénombre les mutilations génitales féminines.
Cet acte est généralement pratiqué sur des filles âgées de 4 à 14 ans, les très jeunes enfants , les femmes sur le point de se marier et parfois sur les femmes enceintes de leur premier enfant ou qui viennent de donner naissance.
L'enquête à indicateurs multiples ( MICS 2011-2012) estime à 38 % le nombre de femmes âgées de 15 à 45 ans excisées en Côte d'Ivoire avec les plus fortes prévalences de 70% dans le Nord, 57% à l'Ouest, 50% au Centre-Nord, 20% au Centre-Est et 13% au Centre.
Selon l'organisation mondiale de la santé (OMS) les mutilations génitales féminines touchent 100 à 140 million de femmes dans le monde.
(AIP)
on/ask
La rencontre s'inscrivait dans le cadre de la commémoration de la journée mondiale de lutte contre les mutilations génitales féminines. Les autorités administratives, les leaders communautaires, les organisations féminines présentes à la cérémonie ont à travers la projection d'un film portant sur ce fléau, mesuré son ampleur. Elles ont souligné œuvrer pour l'éradication de cette pratique, à travers la dénonciation.
Les violences basées sont devenues depuis quelques années une préoccupation majeure de la communauté internationale. Parmi ces violences, l'on dénombre les mutilations génitales féminines.
Cet acte est généralement pratiqué sur des filles âgées de 4 à 14 ans, les très jeunes enfants , les femmes sur le point de se marier et parfois sur les femmes enceintes de leur premier enfant ou qui viennent de donner naissance.
L'enquête à indicateurs multiples ( MICS 2011-2012) estime à 38 % le nombre de femmes âgées de 15 à 45 ans excisées en Côte d'Ivoire avec les plus fortes prévalences de 70% dans le Nord, 57% à l'Ouest, 50% au Centre-Nord, 20% au Centre-Est et 13% au Centre.
Selon l'organisation mondiale de la santé (OMS) les mutilations génitales féminines touchent 100 à 140 million de femmes dans le monde.
(AIP)
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