Abidjan - Le gouvernement, par la voix de son porte-parole, Sidi Touré, a rassuré, mercredi, quant à son engagement à éviter une année blanche et pour lequel les discussions se poursuivent avec les différents syndicats, nonobstant son sentiment vis-à-vis de la grève "injustifiée" qui perturbe depuis près d’un mois l’école.
« Le gouvernement est en contact permanent avec les différents acteurs pour trouver un équilibre et permettre à l’école de se dérouler normalement et qu’il n’y ait pas d’année blanche », a assuré le porte-parole du gouvernement, avant d’exprimer son optimisme quant à l’obtention d’un compromis « dans les 24 heures ».
Rappelant aux différents syndicats grévistes que les discussions ne sauraient s’éterniser, cependant, eu égard à l’impératif du respect du quantum horaire, il les a appelés à « mettre de l’eau dans leur vin » pour mettre fin à l’impasse créé de leur fait.
Une grève des enseignants du secondaire et du primaire public à l’appel de l’Intersyndicale de l’enseignement préscolaire et primaire de Côte d’Ivoire (ISEPPCI) et de la Coalition des syndicats du secteur éducation et formation de Côte d’Ivoire (COSEF-CI), perturbe le déroulement des enseignements dans plusieurs localités du pays, depuis près d’un mois.
L’enseignement supérieur n’est pas en reste avec un bras de fer engagé entre la présidence de l’université Félix Houphouët-Boigny de Cocody et un syndicat d’enseignants chercheurs qui a provoqué un arrêt des activités académiques depuis plusieurs semaines.
Le ministre Sidi Touré, dans son intervention, au terme d’un conseil des ministres, a de nouveau ramené les différents syndicats du secteur public à leur responsabilité quant au respect de la trêve sociale conclue en août 2017. Pour lui, les grèves ainsi observées au niveau de l’Education nationale et du supérieur sont d’autant injustifiées que le gouvernement a respecté sa part du contrat.
« Remettre les différentes revendications (au niveau de l’Education nationale notamment) sur la table, nous sommes un peu ahuris et surpris. Ce sont des grèves qui, pour la substance, ne sont pas justifiées et qui ont un relent fortement politique et qui devraient interpeller les uns et les autres par rapport à leur responsabilité », a laissé entendre le porte-parole du gouvernement.
Il a, par ailleurs, appelé les parents d’élèves à s’impliquer pour interpeller les différents acteurs vu la gravité de la situation en rapport avec « l’avenir de nos enfants ».
kg/fmo
« Le gouvernement est en contact permanent avec les différents acteurs pour trouver un équilibre et permettre à l’école de se dérouler normalement et qu’il n’y ait pas d’année blanche », a assuré le porte-parole du gouvernement, avant d’exprimer son optimisme quant à l’obtention d’un compromis « dans les 24 heures ».
Rappelant aux différents syndicats grévistes que les discussions ne sauraient s’éterniser, cependant, eu égard à l’impératif du respect du quantum horaire, il les a appelés à « mettre de l’eau dans leur vin » pour mettre fin à l’impasse créé de leur fait.
Une grève des enseignants du secondaire et du primaire public à l’appel de l’Intersyndicale de l’enseignement préscolaire et primaire de Côte d’Ivoire (ISEPPCI) et de la Coalition des syndicats du secteur éducation et formation de Côte d’Ivoire (COSEF-CI), perturbe le déroulement des enseignements dans plusieurs localités du pays, depuis près d’un mois.
L’enseignement supérieur n’est pas en reste avec un bras de fer engagé entre la présidence de l’université Félix Houphouët-Boigny de Cocody et un syndicat d’enseignants chercheurs qui a provoqué un arrêt des activités académiques depuis plusieurs semaines.
Le ministre Sidi Touré, dans son intervention, au terme d’un conseil des ministres, a de nouveau ramené les différents syndicats du secteur public à leur responsabilité quant au respect de la trêve sociale conclue en août 2017. Pour lui, les grèves ainsi observées au niveau de l’Education nationale et du supérieur sont d’autant injustifiées que le gouvernement a respecté sa part du contrat.
« Remettre les différentes revendications (au niveau de l’Education nationale notamment) sur la table, nous sommes un peu ahuris et surpris. Ce sont des grèves qui, pour la substance, ne sont pas justifiées et qui ont un relent fortement politique et qui devraient interpeller les uns et les autres par rapport à leur responsabilité », a laissé entendre le porte-parole du gouvernement.
Il a, par ailleurs, appelé les parents d’élèves à s’impliquer pour interpeller les différents acteurs vu la gravité de la situation en rapport avec « l’avenir de nos enfants ».
kg/fmo