Abidjan– L’Alliance pour l’inclusion financière (AFI) a ouvert, mercredi, son bureau régional pour l’Afrique subsaharienne et le Moyen-Orient en présence du directeur exécutif de l’organisation et du gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BECEAO).
L’AFI est une organisation internationale qui œuvre pour la promotion de l’inclusion financière. Elle a pour objectif d’apporter un appui aux pays membres, qui en expriment le besoin, pour concevoir et mettre en œuvre des politiques innovantes en vue d’améliorer l’accès des plus pauvres aux services financiers.
« L’ouverture de cette représentation permettra de faciliter, au plan local, la mise en œuvres action de l’initiative africaine pour les politiques d’inclusion financière », a déclaré le Gouverneur de la Bceao, Koné Meylet Tiémoko.
Il a, par ailleurs, souligné que l’ouverture du bureau régional de l’AFI en Côte d’Ivoire se fait dans un contexte où les pays de la zone Uemoa ont entamé ou finalisé pour certains, le processus d’élaboration de leur stratégie nationale de l’inclusion financière.
Le ministre ivoirien de l’Economie et des Finances, Adama Koné, a noté que la présence du Bureau régional de l’AFI en Côte d’Ivoire devrait permettre de renforcer l’implication de tous les Etats membres de l’UEMOA dans les activités de ce réseau. Ce qui devrait contribuer à favoriser l’adhésion des pays de l’Union à l’Alliance, a-t-il souligné.
A ce jour, trois pays de l’Union sont membres de l’AFI, à savoir la Côte d’Ivoire, le Niger et le Sénégal.
Le réseau de l’Alliance regroupe des banques centrales et des ministres en charge de l’Economie et des Finances, compte 105 institutions membres provenant de 91 pays émergents et en développement. Les membres africains de l’AFI au nombre de 40, sont constitués de 25 banques et 14 ministères en charge de l’Economie et des finances.
Le programme d’action de l’AFI s’articule autour de la mise à disposition d’experts, de l’accompagnement des membres dans le cadre de partenariats public-privé, de l’octroi de financement sous forme de dons pour des activités à fort potentiel inclusif, de partage d’expériences avec des pays pionniers et d’échange d’information dans le domaine de l’inclusion financière.
Les membres du réseau ambitionnent de favoriser l’inclusion financière de 1,7 milliard de personnes non bancarisées à travers le monde, signale-t-on.
kkf/TM
L’AFI est une organisation internationale qui œuvre pour la promotion de l’inclusion financière. Elle a pour objectif d’apporter un appui aux pays membres, qui en expriment le besoin, pour concevoir et mettre en œuvre des politiques innovantes en vue d’améliorer l’accès des plus pauvres aux services financiers.
« L’ouverture de cette représentation permettra de faciliter, au plan local, la mise en œuvres action de l’initiative africaine pour les politiques d’inclusion financière », a déclaré le Gouverneur de la Bceao, Koné Meylet Tiémoko.
Il a, par ailleurs, souligné que l’ouverture du bureau régional de l’AFI en Côte d’Ivoire se fait dans un contexte où les pays de la zone Uemoa ont entamé ou finalisé pour certains, le processus d’élaboration de leur stratégie nationale de l’inclusion financière.
Le ministre ivoirien de l’Economie et des Finances, Adama Koné, a noté que la présence du Bureau régional de l’AFI en Côte d’Ivoire devrait permettre de renforcer l’implication de tous les Etats membres de l’UEMOA dans les activités de ce réseau. Ce qui devrait contribuer à favoriser l’adhésion des pays de l’Union à l’Alliance, a-t-il souligné.
A ce jour, trois pays de l’Union sont membres de l’AFI, à savoir la Côte d’Ivoire, le Niger et le Sénégal.
Le réseau de l’Alliance regroupe des banques centrales et des ministres en charge de l’Economie et des Finances, compte 105 institutions membres provenant de 91 pays émergents et en développement. Les membres africains de l’AFI au nombre de 40, sont constitués de 25 banques et 14 ministères en charge de l’Economie et des finances.
Le programme d’action de l’AFI s’articule autour de la mise à disposition d’experts, de l’accompagnement des membres dans le cadre de partenariats public-privé, de l’octroi de financement sous forme de dons pour des activités à fort potentiel inclusif, de partage d’expériences avec des pays pionniers et d’échange d’information dans le domaine de l’inclusion financière.
Les membres du réseau ambitionnent de favoriser l’inclusion financière de 1,7 milliard de personnes non bancarisées à travers le monde, signale-t-on.
kkf/TM