Abidjan - Plus de 300 personnes sont attendues du 4 au 6 mars 2019 au siège de la Banque africaine de développement à Abidjan, en Côte d’Ivoire, pour prendre part à la troisième édition du Forum africain pour la résilience (FAR) qui a pour thème principal « Fragilité, Migration et Résilience ».
Les travaux permettront aux participants, parmi lesquels des Premiers ministres, des membres du gouvernement, des représentants d’organisations internationales, des figures de la société civile ainsi que des universitaires et des hommes d’affaires, de débattre des défis posés par la migration, la sécurité, le chômage des jeunes, les questions de genre, les effets du changement climatique.
En 2016, les chiffres du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) indiquaient que plus de 21,3 millions de personnes ont été contraintes de quitter leurs lieux de résidence.
Plate-forme unique de partage d’expériences entre participants venus de divers horizons, la troisième édition du Forum africain pour la résilience, organisée avec le soutien de l’Agence suisse pour le développement et la coopération (SDC), va également permettre d’examiner les formidables opportunités qu’offre la migration en tant que vecteur de développement, source de partage de valeurs sociales entre les pays de départ, de transit et de destination.
Une plénière spécifiquement dédiée aux « solutions innovantes dans le domaine de la migration », y compris financières, va permettre de mettre en évidence comment la pauvreté et l’absence de perspectives d’emplois deviennent des puissants vecteurs de migration et d’instabilité.
Le triptyque « Migration-Sécurité-Développement » sera au cœur des débats d’une autre session plénière au cours de laquelle les participants passeront en revue le trafic illicite de migrants, l’impact des resserrements des contrôles aux frontières, afin de battre en brèche certaines idées reçues sur la migration.
Les mouvements migratoires à l’intérieur du continent africain seront évoqués lors d’une session parallèle intitulée « défis et politiques de la migration intra-africaine » tandis qu’un autre atelier parallèle portera sur « changement climatique, migration et renforcement de la résilience ».
Les débats de la troisième édition du Forum bénéficieront de l’apport du nouvel outil d’Evaluation de la résilience et la fragilité des pays (ERFP) qui prend en compte la notion de pressions intérieures et extérieures subies par le pays et celle de capacités à développer pour y faire face.
Mis au point en 2018 par la Banque africaine de développement, ERFP introduit, pour la première fois dans l’histoire des outils d’évaluation de la fragilité et la résilience, les critères « d’effets de contagion régionale » et « de changement climatique ».
Sous l’égide du Bureau de coordination des pays en transition de la Banque africaine de développement (RDTS), les participants vont identifier, à l’issue de leurs discussions dans six sessions plénières et neuf ateliers parallèles, les meilleures initiatives à prendre pour remédier à la fragilité et bâtir la résilience à travers des réponses appropriées aux défis migratoires.
kkf/kam
Les travaux permettront aux participants, parmi lesquels des Premiers ministres, des membres du gouvernement, des représentants d’organisations internationales, des figures de la société civile ainsi que des universitaires et des hommes d’affaires, de débattre des défis posés par la migration, la sécurité, le chômage des jeunes, les questions de genre, les effets du changement climatique.
En 2016, les chiffres du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) indiquaient que plus de 21,3 millions de personnes ont été contraintes de quitter leurs lieux de résidence.
Plate-forme unique de partage d’expériences entre participants venus de divers horizons, la troisième édition du Forum africain pour la résilience, organisée avec le soutien de l’Agence suisse pour le développement et la coopération (SDC), va également permettre d’examiner les formidables opportunités qu’offre la migration en tant que vecteur de développement, source de partage de valeurs sociales entre les pays de départ, de transit et de destination.
Une plénière spécifiquement dédiée aux « solutions innovantes dans le domaine de la migration », y compris financières, va permettre de mettre en évidence comment la pauvreté et l’absence de perspectives d’emplois deviennent des puissants vecteurs de migration et d’instabilité.
Le triptyque « Migration-Sécurité-Développement » sera au cœur des débats d’une autre session plénière au cours de laquelle les participants passeront en revue le trafic illicite de migrants, l’impact des resserrements des contrôles aux frontières, afin de battre en brèche certaines idées reçues sur la migration.
Les mouvements migratoires à l’intérieur du continent africain seront évoqués lors d’une session parallèle intitulée « défis et politiques de la migration intra-africaine » tandis qu’un autre atelier parallèle portera sur « changement climatique, migration et renforcement de la résilience ».
Les débats de la troisième édition du Forum bénéficieront de l’apport du nouvel outil d’Evaluation de la résilience et la fragilité des pays (ERFP) qui prend en compte la notion de pressions intérieures et extérieures subies par le pays et celle de capacités à développer pour y faire face.
Mis au point en 2018 par la Banque africaine de développement, ERFP introduit, pour la première fois dans l’histoire des outils d’évaluation de la fragilité et la résilience, les critères « d’effets de contagion régionale » et « de changement climatique ».
Sous l’égide du Bureau de coordination des pays en transition de la Banque africaine de développement (RDTS), les participants vont identifier, à l’issue de leurs discussions dans six sessions plénières et neuf ateliers parallèles, les meilleures initiatives à prendre pour remédier à la fragilité et bâtir la résilience à travers des réponses appropriées aux défis migratoires.
kkf/kam