Abidjan, Le ministre ivoirien de l’Economie et des Finances, Adama Koné appelle les Etats à inscrire au rang des priorités, la lutte contre l’exclusion financière et les inégalités liées au genre ainsi que la promotion de l’usage optimal de la technologie au profit de l’inclusion financière universelle.
« Que ce soit en Afrique ou au Moyen-Orient, l’une des particularités de l’exclusion financière des populations réside dans le fait qu’elle découle beaucoup plus de facteurs subis, résultant des défaillances ou des imperfections du marché », a relevé le ministre, vendredi, à l’ouverture de la conférence internationale de haut niveau sur les perspectives de l’inclusion financière portant sur le thème, « Repenser l’avenir de l’inclusion financière ».
Pour lui, cette situation devrait inciter les Etats membres à jouer pleinement leurs rôles dans l’élargissement du marché du crédit et le renforcement de l’utilisation des services financiers.
Même si les indicateurs de l’accès aux services financiers dans la région étaient positifs, la région reste en retard par rapport à la moyenne au niveau international, a soutenu Adama Koné.
Selon Global Findex, seuls 35% des adultes en Afrique et 21% au Moyen-Orient ont un compte pour une moyenne mondiale de 69%. Les personnes disposant d’une épargne ou d’un crédit bancaire se situent à 15,4% en Afrique et 6,7% au Moyen-Orient.
(AIP)
kkf/fmo
« Que ce soit en Afrique ou au Moyen-Orient, l’une des particularités de l’exclusion financière des populations réside dans le fait qu’elle découle beaucoup plus de facteurs subis, résultant des défaillances ou des imperfections du marché », a relevé le ministre, vendredi, à l’ouverture de la conférence internationale de haut niveau sur les perspectives de l’inclusion financière portant sur le thème, « Repenser l’avenir de l’inclusion financière ».
Pour lui, cette situation devrait inciter les Etats membres à jouer pleinement leurs rôles dans l’élargissement du marché du crédit et le renforcement de l’utilisation des services financiers.
Même si les indicateurs de l’accès aux services financiers dans la région étaient positifs, la région reste en retard par rapport à la moyenne au niveau international, a soutenu Adama Koné.
Selon Global Findex, seuls 35% des adultes en Afrique et 21% au Moyen-Orient ont un compte pour une moyenne mondiale de 69%. Les personnes disposant d’une épargne ou d’un crédit bancaire se situent à 15,4% en Afrique et 6,7% au Moyen-Orient.
(AIP)
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