Dans le cadre de la généralisation progressive de la Couverture maladie universelle (CMU), le directeur général de la Caisse national d’Assurance Maladie (CNAM), Bamba Karim a déclaré que le prélèvement des cotisations des acteurs du secteur formel se fera à compter du 1er Avril. Quant aux travailleurs du secteur public et privé, ils pourront bénéficier des prestations dès le 1er juillet 2019.
Ce sont deux informations majeures qui nous a été livrée par Bamba Karim lors d’une conférence de presse qu’il a animé le vendredi 1er mars au siège de la CNAM, sis au Plateau.
Vue comme un système de protection contre le risque maladie, obligatoire pour l’ensemble des populations vivant en Côte d’Ivoire, la Couverture maladie universelle atteint sa vitesse de croisière. Selon les chiffres mis à notre disposition, on dénombre à la date du 25 février 2019, 1 203 482 personnes effectivement enrôlées et 619 286 personnes du secteur formel public et privé issus du croisement des fichiers. L’objectif majeur du gouvernement ivoirien en matière de santé, c’est de rendre les soins de santé accessible et moins coûteux à tous. Car selon les chiffres officiels, seulement quelque 5 % bénéficie, à ce jour, d’une couverture sociale. Selon le directeur général, la CMU a déjà connu un début d’exécution avec la phase expérimentale du régime général de base entamée le 25 avril 2017 avec la population cible d’environ 150 000 étudiants des établissements d’enseignement supérieur public et privé dans les villes estudiantines d’Abidjan, Yamoussoukro, Bouaké, Daloa et Korhogo. « Cette étape a permis d’éprouver le fonctionnement des mécanismes régissant la CMU et de tester tous ses outils de gestion afin d’identifier les obstacles, les procédures et les processus à améliorer avant la phase de généralisation. » a confié Bamba Karim.
Selon les explications du patron de la CNAM, en ce qui concerne les populations économiquement faibles ou démunies la CMU a débuté le vendredi 23 novembre 2018 une assistance particulière par le lancement du Régime d’Assistance Médicale dans les districts sanitaires de Dabakala, Issia et Yamoussoukro, conformément à la volonté de SEM le président de la République de mettre en priorité les populations les plus vulnérables. « Nous pouvons donc avec beaucoup de satisfaction aujourd’hui, affirmer que les principaux obstacles identifiés au niveau expérimental ont pu être surmontés et que la mise à l’échelle de la CMU devient effective. » a-t-il conclu.
C.K.
Ce sont deux informations majeures qui nous a été livrée par Bamba Karim lors d’une conférence de presse qu’il a animé le vendredi 1er mars au siège de la CNAM, sis au Plateau.
Vue comme un système de protection contre le risque maladie, obligatoire pour l’ensemble des populations vivant en Côte d’Ivoire, la Couverture maladie universelle atteint sa vitesse de croisière. Selon les chiffres mis à notre disposition, on dénombre à la date du 25 février 2019, 1 203 482 personnes effectivement enrôlées et 619 286 personnes du secteur formel public et privé issus du croisement des fichiers. L’objectif majeur du gouvernement ivoirien en matière de santé, c’est de rendre les soins de santé accessible et moins coûteux à tous. Car selon les chiffres officiels, seulement quelque 5 % bénéficie, à ce jour, d’une couverture sociale. Selon le directeur général, la CMU a déjà connu un début d’exécution avec la phase expérimentale du régime général de base entamée le 25 avril 2017 avec la population cible d’environ 150 000 étudiants des établissements d’enseignement supérieur public et privé dans les villes estudiantines d’Abidjan, Yamoussoukro, Bouaké, Daloa et Korhogo. « Cette étape a permis d’éprouver le fonctionnement des mécanismes régissant la CMU et de tester tous ses outils de gestion afin d’identifier les obstacles, les procédures et les processus à améliorer avant la phase de généralisation. » a confié Bamba Karim.
Selon les explications du patron de la CNAM, en ce qui concerne les populations économiquement faibles ou démunies la CMU a débuté le vendredi 23 novembre 2018 une assistance particulière par le lancement du Régime d’Assistance Médicale dans les districts sanitaires de Dabakala, Issia et Yamoussoukro, conformément à la volonté de SEM le président de la République de mettre en priorité les populations les plus vulnérables. « Nous pouvons donc avec beaucoup de satisfaction aujourd’hui, affirmer que les principaux obstacles identifiés au niveau expérimental ont pu être surmontés et que la mise à l’échelle de la CMU devient effective. » a-t-il conclu.
C.K.
