Le Centre de Valorisation et d’Enfouissement Technique (CVET) de Kossihouen, dans la banlieue d’Abidjan, est désormais opérationnel. La réalisation de cette infrastructure traduit la volonté des autorités ivoiriennes de structurer et moderniser la chaîne de collecte et de transport des déchets solides ménagers du District d’Abidjan. Le centre traitera environ 1 250 000 tonnes par an, soit 90 % des déchets produits dans le District.
Kossihouen s’inscrit dans le nouveau mécanisme de gestion des déchets ménagers. Il remplace la fameuse décharge d’Akouédo. Une décharge ouverte en 1965 et qui avait depuis atteint ses limites. Le nouveau centre vise à assurer un traitement professionnel, efficace et durable des ordures ménagères. Bâti sur une superficie de 100 hectares, le CVET de Kossihouen a une capacité de 4 millions de tonnes de déchets ménagers et de stockage de sept ans.
Pour Alice Tapé, médecin, l’opérationnalisation de ce centre est en tout point bénéfique : « Sa réalisation est d’autant plus salutaire qu’il contribue à réduire les risques environnementaux et sanitaires liés à l’amoncellement des ordures ».
Kossihouen, c’est un transport et un traitement professionnel des ordures ménagères. De façon pratique, dès leur arrivée, les camions tasseurs chargés de déchets passent par les ponts bascules pour le pesage. Un système informatique de pointe permet un traitement rapide des données. Après la pesée, les camions se dirigent vers le casier destiné au déversement de déchets, selon un protocole rigoureux. Ils sont à nouveau pesés à vide, avant de sortir du centre.
Les déchets sont enfouis dans des casiers imperméabilisés, par couches successives de 1,5 m alternées de couverture, avec du matériau inerte de 20 centimètres d’épaisseur. Ceci, pour réduire les odeurs et les envols de déchets. Un système permet de récupérer les eaux usées provenant desdits déchets, de les traiter et de les réutiliser pour l’arrosage des mêmes déchets, afin d’accélérer la décomposition. Un autre système permet de récupérer et de traiter le biogaz provenant des déchets en décomposition.
Coté logistique, ce sont 350 camions et 650 coffres flambants neufs qui ont été réceptionnés par le ministère de l’Assainissement et de la Salubrité pour assurer le service. D’un coût de 40,73 milliards de FCFA, le centre créera 6 000 emplois directs et indirects.
Kossihouen s’inscrit dans le nouveau mécanisme de gestion des déchets ménagers. Il remplace la fameuse décharge d’Akouédo. Une décharge ouverte en 1965 et qui avait depuis atteint ses limites. Le nouveau centre vise à assurer un traitement professionnel, efficace et durable des ordures ménagères. Bâti sur une superficie de 100 hectares, le CVET de Kossihouen a une capacité de 4 millions de tonnes de déchets ménagers et de stockage de sept ans.
Pour Alice Tapé, médecin, l’opérationnalisation de ce centre est en tout point bénéfique : « Sa réalisation est d’autant plus salutaire qu’il contribue à réduire les risques environnementaux et sanitaires liés à l’amoncellement des ordures ».
Kossihouen, c’est un transport et un traitement professionnel des ordures ménagères. De façon pratique, dès leur arrivée, les camions tasseurs chargés de déchets passent par les ponts bascules pour le pesage. Un système informatique de pointe permet un traitement rapide des données. Après la pesée, les camions se dirigent vers le casier destiné au déversement de déchets, selon un protocole rigoureux. Ils sont à nouveau pesés à vide, avant de sortir du centre.
Les déchets sont enfouis dans des casiers imperméabilisés, par couches successives de 1,5 m alternées de couverture, avec du matériau inerte de 20 centimètres d’épaisseur. Ceci, pour réduire les odeurs et les envols de déchets. Un système permet de récupérer les eaux usées provenant desdits déchets, de les traiter et de les réutiliser pour l’arrosage des mêmes déchets, afin d’accélérer la décomposition. Un autre système permet de récupérer et de traiter le biogaz provenant des déchets en décomposition.
Coté logistique, ce sont 350 camions et 650 coffres flambants neufs qui ont été réceptionnés par le ministère de l’Assainissement et de la Salubrité pour assurer le service. D’un coût de 40,73 milliards de FCFA, le centre créera 6 000 emplois directs et indirects.