Abidjan- Chaque année, le gouvernement ivoirien consacre entre 15 et 20 milliards de francs CFA aux actions de solidarité, a indiqué lundi, la ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de la Lutte contre la pauvreté, Mariatou Koné, qui se prononçait sur le thème, « les actions de solidarité du gouvernement, quel impact sur les populations ?».
Cette dotation pour les actions de solidarité est, entre autres, destinée au Fonds national de la solidarité (FNS) avec 1,5 milliard de francs CFA, six milliards de francs CFA pour le projet d’autonomisation de la femme et le dividende démographique, et quatre milliards de francs CFA pour le projet des filets sociaux productifs. La ministre a relevé que cette enveloppe peut être revue à la hausse en fonction des sollicitations des populations.
Les actions de solidarité du gouvernement peuvent être matérielles, financières, morales. L'Etat octroie aussi des prises en charges médicales, scolaires aux populations à faibles revenus ou en difficultés du fait de drames ou catastrophes. Les actions peuvent bénéficier à des individus ou à des communautés.
Au titre de l’aide portée aux populations victimes de sinistres, le gouvernement a assisté, à Abidjan, 2627 familles, soit environ 10.508 personnes victimes des inondations survenues à Abidjan et dans certaines villes de l’intérieur, en juin 2018, et 525 familles sinistrées ont été relogées.
Le gouvernement intervient aussi de façon symbolique auprès de personnes sinistres ou ayants- droit de victimes, ou contribue au charges des obsèques des victimes. Il s’agit notamment des victimes d’incendies (17 familles touchées en 2018), d’effondrement (à Yamoussoukro), d’intoxication alimentaire (Kong 2), des accidents de la route (Adiaké).
En somme, « améliorer le bien-être de chaque ivoirien et habitants de Côte d’Ivoire est un défi que le gouvernement entend relever à travers toutes ces actions et initiatives, particulièrement avec le PSGouv 2019-2020 », a signifié la ministre.
La Côte d’Ivoire célèbre le 25 août de chaque année, la Journée nationale de la Solidarité (JNS), instituée en 2007. Cette journée vise à conférer à la notion de solidarité, toute sa dimension sociale, en tant que maillon indispensable dans la chaîne du vivre ensemble, rappelle-t-on.
tad/fmo
Cette dotation pour les actions de solidarité est, entre autres, destinée au Fonds national de la solidarité (FNS) avec 1,5 milliard de francs CFA, six milliards de francs CFA pour le projet d’autonomisation de la femme et le dividende démographique, et quatre milliards de francs CFA pour le projet des filets sociaux productifs. La ministre a relevé que cette enveloppe peut être revue à la hausse en fonction des sollicitations des populations.
Les actions de solidarité du gouvernement peuvent être matérielles, financières, morales. L'Etat octroie aussi des prises en charges médicales, scolaires aux populations à faibles revenus ou en difficultés du fait de drames ou catastrophes. Les actions peuvent bénéficier à des individus ou à des communautés.
Au titre de l’aide portée aux populations victimes de sinistres, le gouvernement a assisté, à Abidjan, 2627 familles, soit environ 10.508 personnes victimes des inondations survenues à Abidjan et dans certaines villes de l’intérieur, en juin 2018, et 525 familles sinistrées ont été relogées.
Le gouvernement intervient aussi de façon symbolique auprès de personnes sinistres ou ayants- droit de victimes, ou contribue au charges des obsèques des victimes. Il s’agit notamment des victimes d’incendies (17 familles touchées en 2018), d’effondrement (à Yamoussoukro), d’intoxication alimentaire (Kong 2), des accidents de la route (Adiaké).
En somme, « améliorer le bien-être de chaque ivoirien et habitants de Côte d’Ivoire est un défi que le gouvernement entend relever à travers toutes ces actions et initiatives, particulièrement avec le PSGouv 2019-2020 », a signifié la ministre.
La Côte d’Ivoire célèbre le 25 août de chaque année, la Journée nationale de la Solidarité (JNS), instituée en 2007. Cette journée vise à conférer à la notion de solidarité, toute sa dimension sociale, en tant que maillon indispensable dans la chaîne du vivre ensemble, rappelle-t-on.
tad/fmo