Trois mois après l’annonce de la prise de participations majoritaire du groupe Banque centrale populaire (BCP) du Maroc dans le capital de Wizall, la start-up spécialisée dans les paiements électroniques, a officiellement lancé, jeudi, ses activités en Côte d’Ivoire, au cours d’une cérémonie à Abidjan, en présence de ses actionnaires et de plusieurs invités.
A cette occasion, M. Ken Kakena, Cofondateur et Directeur général de Wizall Côte d’Ivoire a présenté la vision ainsi que les innovations importantes qui marqueront la présence de la filiale du groupe BCP en Côte d’Ivoire et dans la sous-région.
Avec un modèle économique disruptif, basé sur une stratégie B to B to C, Wizall Money cible principalement les entreprises, les ONG et les administrations leur proposant une interface dédiée pour des opérations de paiement, notamment des salaires, des bourses d’étude ou des allocations mais aussi de collecte.
Cette solution de paiement, 100% inclusive, ne nécessite ni ouverture de compte bancaire, ni abonnement ou forfait mobile auprès d’un opérateur de téléphonie.
Wizall Money révolutionne ainsi le Mobile money avec la première solution 100% gratuite pour l’utilisateur final, exempt de frais sur les opérations de retraits, de paiements ou de transferts d’argent.
La start-up enregistre aussi ses premiers succès commerciaux notamment, auprès d’un grand facturier du pays, qui utilisera la solution Wizall Money pour le paiement des salaires du personnel non bancarisé ou encore avec un transporteur logisticien qui s’appuiera sur le réseau Wizall Money pour accélérer la collecte des paiements en espèces de ses nombreux clients.
Une innovation de rupture qui permet à Wizall Côte d’Ivoire, de se placer également au service de la chaîne de valeur agricole, un enjeu de développement important pour le pays.
Ainsi, la start-up propose aux planteurs, une plateforme afin de les inciter à épargner et à sécuriser leurs revenus.
Dans ce cadre, Wizall a signé une convention de partenariat stratégique avec ORAP (Organisation pour la recherche d’appuis aux producteurs de café et de cacao) ainsi qu’avec la Plateforme d’appui aux planteurs de la filière Café Cacao, pour le paiement électronique des productions de café-cacao aux planteurs.
Dans l’immédiat, une solution d’e-payment est en phase d’expérimentation auprès de 10 coopératives agricoles installées sur l’axe Abidjan- San Pedro (Sud-Ouest).
« En intégrant un groupe BCP, leader au Maroc et dans le top 10 des banques Africaines, Wizall Money ambitionne maintenant de propulser son modèle sur l’ensemble du continent », a déclaré Sébastien Vetter, Cofondateur et Directeur Général du groupe Wizall.
Après le Sénégal et la Côte d’Ivoire, l’entreprise compte s’implanter progressivement dans les autres pays de l’espace de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). La volonté d’un ancrage fort en Côte d’Ivoire a conduit le groupe à nommer Ken Kakena, co-fondateur de la start-up, à la fonction de Directeur Général de Wizall Côte d’Ivoire.
Fondée au Sénégal en 2015 par Sébastien Vetter et Ken Kakeya, Wizall Money, filiale du Groupe Banque centrale populaire, a développé en 4 ans un modèle de croissance rapide et innovant dans le secteur des paiements électroniques et du mobile money.
En réponse aux besoins grandissants de bancarisation et d’accès à des services financiers de proximité, la vision novatrice de Wizall Money a d’abord séduit le Groupe Total, leader de la distribution de produits pétroliers, marquée par une prise de participations au capital de la start-up et un investissement de plusieurs milliards de FCFA sur la solution en 2015.
Wizall a ensuite lancé une levée de fonds auprès du groupe Banque centrale populaire (BCP), maison mère des établissements Banque Atlantique, qui est devenu en décembre 2018, son actionnaire de référence suite à une prise de participation majoritaire au capital de la start-up.
Elle enregistre déjà un développement réussi au Sénégal avec 100 000 transferts par mois, 60 000 comptes clients, 2 milliards de FCFA mensuellement en circulation sur la plateforme et dispose d’une équipe de 60 collaborateurs.
Après la Côte d’Ivoire, le déploiement de la solution Wizall Money se poursuivra au Mali et au Burkina Faso puis au niveau de sept à huit autres pays avant la fin 2020.
LS/APA
A cette occasion, M. Ken Kakena, Cofondateur et Directeur général de Wizall Côte d’Ivoire a présenté la vision ainsi que les innovations importantes qui marqueront la présence de la filiale du groupe BCP en Côte d’Ivoire et dans la sous-région.
Avec un modèle économique disruptif, basé sur une stratégie B to B to C, Wizall Money cible principalement les entreprises, les ONG et les administrations leur proposant une interface dédiée pour des opérations de paiement, notamment des salaires, des bourses d’étude ou des allocations mais aussi de collecte.
Cette solution de paiement, 100% inclusive, ne nécessite ni ouverture de compte bancaire, ni abonnement ou forfait mobile auprès d’un opérateur de téléphonie.
Wizall Money révolutionne ainsi le Mobile money avec la première solution 100% gratuite pour l’utilisateur final, exempt de frais sur les opérations de retraits, de paiements ou de transferts d’argent.
La start-up enregistre aussi ses premiers succès commerciaux notamment, auprès d’un grand facturier du pays, qui utilisera la solution Wizall Money pour le paiement des salaires du personnel non bancarisé ou encore avec un transporteur logisticien qui s’appuiera sur le réseau Wizall Money pour accélérer la collecte des paiements en espèces de ses nombreux clients.
Une innovation de rupture qui permet à Wizall Côte d’Ivoire, de se placer également au service de la chaîne de valeur agricole, un enjeu de développement important pour le pays.
Ainsi, la start-up propose aux planteurs, une plateforme afin de les inciter à épargner et à sécuriser leurs revenus.
Dans ce cadre, Wizall a signé une convention de partenariat stratégique avec ORAP (Organisation pour la recherche d’appuis aux producteurs de café et de cacao) ainsi qu’avec la Plateforme d’appui aux planteurs de la filière Café Cacao, pour le paiement électronique des productions de café-cacao aux planteurs.
Dans l’immédiat, une solution d’e-payment est en phase d’expérimentation auprès de 10 coopératives agricoles installées sur l’axe Abidjan- San Pedro (Sud-Ouest).
« En intégrant un groupe BCP, leader au Maroc et dans le top 10 des banques Africaines, Wizall Money ambitionne maintenant de propulser son modèle sur l’ensemble du continent », a déclaré Sébastien Vetter, Cofondateur et Directeur Général du groupe Wizall.
Après le Sénégal et la Côte d’Ivoire, l’entreprise compte s’implanter progressivement dans les autres pays de l’espace de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). La volonté d’un ancrage fort en Côte d’Ivoire a conduit le groupe à nommer Ken Kakena, co-fondateur de la start-up, à la fonction de Directeur Général de Wizall Côte d’Ivoire.
Fondée au Sénégal en 2015 par Sébastien Vetter et Ken Kakeya, Wizall Money, filiale du Groupe Banque centrale populaire, a développé en 4 ans un modèle de croissance rapide et innovant dans le secteur des paiements électroniques et du mobile money.
En réponse aux besoins grandissants de bancarisation et d’accès à des services financiers de proximité, la vision novatrice de Wizall Money a d’abord séduit le Groupe Total, leader de la distribution de produits pétroliers, marquée par une prise de participations au capital de la start-up et un investissement de plusieurs milliards de FCFA sur la solution en 2015.
Wizall a ensuite lancé une levée de fonds auprès du groupe Banque centrale populaire (BCP), maison mère des établissements Banque Atlantique, qui est devenu en décembre 2018, son actionnaire de référence suite à une prise de participation majoritaire au capital de la start-up.
Elle enregistre déjà un développement réussi au Sénégal avec 100 000 transferts par mois, 60 000 comptes clients, 2 milliards de FCFA mensuellement en circulation sur la plateforme et dispose d’une équipe de 60 collaborateurs.
Après la Côte d’Ivoire, le déploiement de la solution Wizall Money se poursuivra au Mali et au Burkina Faso puis au niveau de sept à huit autres pays avant la fin 2020.
LS/APA