La remise officielle des équipements et du Centre de prestations des services agricoles motorisés (CPSAM), samedi à Napié (Nord, région du Poro), marque le démarrage des activités de ces structures pilotes implantées également à Boundiali (région de la Bagoué) et à Mankono (région du Béré).
Après avoir remis symboliquement les équipements à INTERCOTON, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly, a exalté la coopération fructueuse entre la Côte d’Ivoire et la France à travers le Contrat de désendettement et de développement (C2D).
Il a indiqué que la mécanisation ainsi amorcée dans la cotonculture va s’étendre d’ici la fin de l’année à d’autres filières, conformément à la promesse faite par le président Alassane Ouattara de faire de la Côte d’Ivoire, la première puissance agricole en Afrique de l’Ouest.
Auparavant, le représentant de l’Agence française de développement (AFD), Mathieu Le Grix, s’est appesanti sur le bilan positif du C2D qui, depuis 2013, a financé des projets agricoles ivoiriens à plus de 130 milliards FCFA. Il a assuré de la disponibilité de l’AFD à appuyer le Programme national d’investissement agricole (PNIA) et le développement des agropôles.
Les CPSAM s’inscrivent dans le Projet d’appui au secteur agricole (PSAC) qui s’est achevé en fin juin 2018, après une durée de quatre ans. Leur objectif est de faciliter l’accès d’un plus grand nombre d’exploitants à la motorisation agricole, en vue de booster la production de coton, d’améliorer les revenus des producteurs, de réduire la pénibilité du travail, entre autres.
Au titre de ses prestations, les opérations de labour sont facturées à 30 000 FCFA à l’hectare et le pulvérisage à 15 000 FCFA à l’hectare. Le coût du transport d’intrants et de récolte est facturé à 5 000 FCFA par tonne dans un rayon de 30 km.
C. K. avec AIP
Après avoir remis symboliquement les équipements à INTERCOTON, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly, a exalté la coopération fructueuse entre la Côte d’Ivoire et la France à travers le Contrat de désendettement et de développement (C2D).
Il a indiqué que la mécanisation ainsi amorcée dans la cotonculture va s’étendre d’ici la fin de l’année à d’autres filières, conformément à la promesse faite par le président Alassane Ouattara de faire de la Côte d’Ivoire, la première puissance agricole en Afrique de l’Ouest.
Auparavant, le représentant de l’Agence française de développement (AFD), Mathieu Le Grix, s’est appesanti sur le bilan positif du C2D qui, depuis 2013, a financé des projets agricoles ivoiriens à plus de 130 milliards FCFA. Il a assuré de la disponibilité de l’AFD à appuyer le Programme national d’investissement agricole (PNIA) et le développement des agropôles.
Les CPSAM s’inscrivent dans le Projet d’appui au secteur agricole (PSAC) qui s’est achevé en fin juin 2018, après une durée de quatre ans. Leur objectif est de faciliter l’accès d’un plus grand nombre d’exploitants à la motorisation agricole, en vue de booster la production de coton, d’améliorer les revenus des producteurs, de réduire la pénibilité du travail, entre autres.
Au titre de ses prestations, les opérations de labour sont facturées à 30 000 FCFA à l’hectare et le pulvérisage à 15 000 FCFA à l’hectare. Le coût du transport d’intrants et de récolte est facturé à 5 000 FCFA par tonne dans un rayon de 30 km.
C. K. avec AIP