Bondoukou– Plusieurs leaders religieux renforcent leurs capacités, de lundi à dimanche, en matière de procréation responsable, à l’occasion d’un séminaire organisé, à Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo) par l’Alliance des religieux pour la santé intégrale et la promotion de la personne humaine en Côte d’Ivoire (ARSIP).
Ce séminaire, avec l’appui technique du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique et le soutien financier du Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), vise à sensibiliser les leaders religieux sur la réduction du taux de mortalité maternelle à travers le changement des normes sociales et de comportement dans le domaine de la santé de la reproduction.
Selon la directrice exécutive de l’Ong ARSIP, N’Tamon Edichi Yvette, en Côte d’Ivoire, deux femmes meurent toutes les trois heures suite à des complications liées à la grossesse et à l’accouchement alors que ces drames peuvent être évités par des gestes simples appliqués dans la communauté.
Mme N'Tamon a regretté la persistance des grossesses non désirées chez les adolescents et jeunes depuis cinq ans, malgré les efforts du Gouvernement et les grandes avancées constatées ainsi qu’une faible utilisation des services de consultations prénatales, de planifications et espacements des naissances.
Elle a invité les leaders religieux à s’engager davantage sur les questions de la santé de la mère, des adolescents et jeunes afin qu’ils contribuent à lutter efficacement contre la mortalité maternelle et améliorer les conditions de vie des ménages.
Plusieurs thèmes seront abordés, notamment la santé sexuelle et de la reproduction, le dividende démographique et la santé des adolescents et jeunes.
Créée en 2006, l’Ong ARSIP vise à contribuer à prévenir les maladies, réduire leur impact et améliorer les conditions de vie des populations. L’une de ses missions est la mobilisation des organisations et institutions religieuses en faveur de la promotion de la santé et celle de la personne humaine.
zaar/fmo
Ce séminaire, avec l’appui technique du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique et le soutien financier du Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), vise à sensibiliser les leaders religieux sur la réduction du taux de mortalité maternelle à travers le changement des normes sociales et de comportement dans le domaine de la santé de la reproduction.
Selon la directrice exécutive de l’Ong ARSIP, N’Tamon Edichi Yvette, en Côte d’Ivoire, deux femmes meurent toutes les trois heures suite à des complications liées à la grossesse et à l’accouchement alors que ces drames peuvent être évités par des gestes simples appliqués dans la communauté.
Mme N'Tamon a regretté la persistance des grossesses non désirées chez les adolescents et jeunes depuis cinq ans, malgré les efforts du Gouvernement et les grandes avancées constatées ainsi qu’une faible utilisation des services de consultations prénatales, de planifications et espacements des naissances.
Elle a invité les leaders religieux à s’engager davantage sur les questions de la santé de la mère, des adolescents et jeunes afin qu’ils contribuent à lutter efficacement contre la mortalité maternelle et améliorer les conditions de vie des ménages.
Plusieurs thèmes seront abordés, notamment la santé sexuelle et de la reproduction, le dividende démographique et la santé des adolescents et jeunes.
Créée en 2006, l’Ong ARSIP vise à contribuer à prévenir les maladies, réduire leur impact et améliorer les conditions de vie des populations. L’une de ses missions est la mobilisation des organisations et institutions religieuses en faveur de la promotion de la santé et celle de la personne humaine.
zaar/fmo