La 2ème édition des Journées africaines de l’écologie et des changements climatiques (JFAC) a ouvert ses portes, lundi, à Abidjan où des experts se penchent sur les enjeux des transitions énergétiques et écologiques, a constaté APA sur place dans la capitale économique.
Selon le Coordinateur résident des activités opérationnelles du Système des Nations Unies, Babacar Cissé, « les changements climatiques se font ressentir partout dans le monde avec des conséquences tout à fait réelles sur la vie de nos populations» .
« L’Afrique n’est malheureusement pas épargnée. L’état de son environnement se dégrade. Les pays africains sont parmi les plus vulnérables et les moins bien préparés pour faire face à ces enjeux climatiques ressentis par les populations d’où la nécessité d’avoir une approche communautaire », a regretté M. Cissé qui en appelle à une forte mobilisation de tous.
Citant un rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), Babacar Cissé a souligné que « le coût estimé du changement climatique représente entre 1,5 et 3% du produit intérieur brut annuel du continent et pourrait dépasser les 5% à l’horizon 2020 ».
« Les pays africains ont le devoir de faire un bond technologique qualificatif », a estimé Gervais N’Zi, Directeur exécutif du Réseau des experts africains pour l’écologie et les changements climatiques (REFACC) à l’initiative de ces journées.
Pour cet expert, « l’urgence et l’ampleur des dégâts climatiques sur l’humanité exigent un nouveau partenariat universel autour du problème et commande l’implication de toutes les forces vives, les leaders d’opinion de toutes obédiences ».
Le ministre de l'Environnement et du Développement Durable, Joseph Séka Séka, dans la même veine a soutenu qu’il « faut agir maintenant main dans la main afin de contrer ces aléas climatiques qui deviennent de plus en plus délétères pour nos économies, notre environnement et la santé de nos populations ».
« Les JFAC offrent la possibilité à tous les acteurs de la transition écologique en Afrique de tisser des relations de partenariats et d’affaires et même de créer des réseaux d’Experts en matière de climat », s’est félicité le ministre qui compte faire de ce rendez-vous, une grande plateforme annuelle de son département, les prochaines années.
Des ateliers sur différents sous thèmes, des rencontres d’affaires, des expositions vont meubler cette activité durant 4 jours qui a pour thématique centrale « comment réussir les transitions énergétiques et écologiques en Afrique ».
SY/hs/ls/APA
Selon le Coordinateur résident des activités opérationnelles du Système des Nations Unies, Babacar Cissé, « les changements climatiques se font ressentir partout dans le monde avec des conséquences tout à fait réelles sur la vie de nos populations» .
« L’Afrique n’est malheureusement pas épargnée. L’état de son environnement se dégrade. Les pays africains sont parmi les plus vulnérables et les moins bien préparés pour faire face à ces enjeux climatiques ressentis par les populations d’où la nécessité d’avoir une approche communautaire », a regretté M. Cissé qui en appelle à une forte mobilisation de tous.
Citant un rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), Babacar Cissé a souligné que « le coût estimé du changement climatique représente entre 1,5 et 3% du produit intérieur brut annuel du continent et pourrait dépasser les 5% à l’horizon 2020 ».
« Les pays africains ont le devoir de faire un bond technologique qualificatif », a estimé Gervais N’Zi, Directeur exécutif du Réseau des experts africains pour l’écologie et les changements climatiques (REFACC) à l’initiative de ces journées.
Pour cet expert, « l’urgence et l’ampleur des dégâts climatiques sur l’humanité exigent un nouveau partenariat universel autour du problème et commande l’implication de toutes les forces vives, les leaders d’opinion de toutes obédiences ».
Le ministre de l'Environnement et du Développement Durable, Joseph Séka Séka, dans la même veine a soutenu qu’il « faut agir maintenant main dans la main afin de contrer ces aléas climatiques qui deviennent de plus en plus délétères pour nos économies, notre environnement et la santé de nos populations ».
« Les JFAC offrent la possibilité à tous les acteurs de la transition écologique en Afrique de tisser des relations de partenariats et d’affaires et même de créer des réseaux d’Experts en matière de climat », s’est félicité le ministre qui compte faire de ce rendez-vous, une grande plateforme annuelle de son département, les prochaines années.
Des ateliers sur différents sous thèmes, des rencontres d’affaires, des expositions vont meubler cette activité durant 4 jours qui a pour thématique centrale « comment réussir les transitions énergétiques et écologiques en Afrique ».
SY/hs/ls/APA