Onze(11) filles de nationalité nigériane en situation de traite et d’exploitation sexuelle ont été libérées des griffes de trois personnes (deux nigérianes et un camerounais) d’un réseau de trafic illicite d’immigrants avec exploitation sexuelle dans la Région du Sud Comoé, précisément à Noé, Maféré et Aboisso.
Selon les responsables du centre social de Noé, les faits se sont déroulés le jeudi 14 mars 2019 dans ladite ville, qui partage la frontière Est ivoirienne avec le Ghana. Ce jour-là sur dénonciation des populations, les forces de sécurité ont été mises en alerte et celles-ci n’ont pas mis du temps à mettre le grappin sur ces trois trafiquants d’un autre âge.
Il faut dire que la synergie d’action des acteurs de la protection des ministères techniques et des forces de sécurité est à saluer relativement à la mise en œuvre de la politique nationale de l’enfant et de la loi sur la lutte contre la traite et l’exploitation des enfants.
Informée, Madame la ministre de la femme , de la famille et de l’enfant, Professeur Bakayoko-Ly Ramata, au nom du gouvernement, a condamné cet acte ignoble et annoncé la prise en charge des 11 filles dans un centre spécialisé. Ce qui permettra d’organiser la recherche des familles de celles-ci en lien avec les services consulaires de leur pays d’origine, l’OIM et les autres structures appropriées. Un projet de vie pourra accompagner ces dernières dans leur pays.
« C’est l’occasion de saluer l’appui précieux de Madame la Première Dame de Côte d’Ivoire qui s’est investie dans la résolution de cette situation. Aussi, voudrais-je condamner avec la dernière énergie cette pratique à relent d’esclavagisme qui tend à prendre de l’ampleur dans la région du Sud Comoé et rassurer tous les partenaires sur l’engagement de la Côte d’Ivoire à lutter contre cette pratique qui viole les droits des enfants », a-t-elle lancé.
Elle a terminé en mettant en garde toutes les personnes volontaires à cette pratique illicite qu’elles subiront la rigueur de la loi.
Selon les responsables du centre social de Noé, les faits se sont déroulés le jeudi 14 mars 2019 dans ladite ville, qui partage la frontière Est ivoirienne avec le Ghana. Ce jour-là sur dénonciation des populations, les forces de sécurité ont été mises en alerte et celles-ci n’ont pas mis du temps à mettre le grappin sur ces trois trafiquants d’un autre âge.
Il faut dire que la synergie d’action des acteurs de la protection des ministères techniques et des forces de sécurité est à saluer relativement à la mise en œuvre de la politique nationale de l’enfant et de la loi sur la lutte contre la traite et l’exploitation des enfants.
Informée, Madame la ministre de la femme , de la famille et de l’enfant, Professeur Bakayoko-Ly Ramata, au nom du gouvernement, a condamné cet acte ignoble et annoncé la prise en charge des 11 filles dans un centre spécialisé. Ce qui permettra d’organiser la recherche des familles de celles-ci en lien avec les services consulaires de leur pays d’origine, l’OIM et les autres structures appropriées. Un projet de vie pourra accompagner ces dernières dans leur pays.
« C’est l’occasion de saluer l’appui précieux de Madame la Première Dame de Côte d’Ivoire qui s’est investie dans la résolution de cette situation. Aussi, voudrais-je condamner avec la dernière énergie cette pratique à relent d’esclavagisme qui tend à prendre de l’ampleur dans la région du Sud Comoé et rassurer tous les partenaires sur l’engagement de la Côte d’Ivoire à lutter contre cette pratique qui viole les droits des enfants », a-t-elle lancé.
Elle a terminé en mettant en garde toutes les personnes volontaires à cette pratique illicite qu’elles subiront la rigueur de la loi.