Agboville, Dosso Cheho Abdou Kader, 36 ans, coiffeur de son état, poursuivi pour détention illégale de cannabis, a été condamné jeudi à 12 mois d’emprisonnement ferme par le tribunal correctionnel d’Agboville.
Parallèlement à son métier de coiffeur qu’il exerçait à Offoumpo, localité située dans la sous-préfecture d’Agboville, Dosso Abdoul Kader se livrait aussi à une autre activité peu glorieuse. A savoir la vente de stupéfiants, notamment de cannabis dont 1 kg a été trouvé en sa possession lors de son arrestation.
A la barre du tribunal où il a comparu pour se défendre, le mis en cause a réfuté le manteau de dealer pour endosser celui du consommateur. Affirmant toutefois que la drogue trouvée en sa possession servait à stimuler l’énergie des ouvriers qui l’aidaient également dans son activité de fabrication de charbon.
En fait, il était soupçonné dans la localité de tremper dans un réseau de distributeurs de produits stupéfiants. C’est donc sur dénonciation anonyme qu’il a été pris la main dans le sac par des agents chargés de la lutte contre l’utilisation illicite de stupéfiants.
Reconnu donc coupable des faits mis à sa charge, le mis en cause a été condamné à payer une amende de 200.000 f CFA outre la peine d’une année d’emprisonnement. Le temps pour lui de se ressaisir afin de mettre un terme à son activité destructive de la jeunesse ivoirienne comme l’a souligné le représentant du ministère public.
(AIP)
yy/ask
Parallèlement à son métier de coiffeur qu’il exerçait à Offoumpo, localité située dans la sous-préfecture d’Agboville, Dosso Abdoul Kader se livrait aussi à une autre activité peu glorieuse. A savoir la vente de stupéfiants, notamment de cannabis dont 1 kg a été trouvé en sa possession lors de son arrestation.
A la barre du tribunal où il a comparu pour se défendre, le mis en cause a réfuté le manteau de dealer pour endosser celui du consommateur. Affirmant toutefois que la drogue trouvée en sa possession servait à stimuler l’énergie des ouvriers qui l’aidaient également dans son activité de fabrication de charbon.
En fait, il était soupçonné dans la localité de tremper dans un réseau de distributeurs de produits stupéfiants. C’est donc sur dénonciation anonyme qu’il a été pris la main dans le sac par des agents chargés de la lutte contre l’utilisation illicite de stupéfiants.
Reconnu donc coupable des faits mis à sa charge, le mis en cause a été condamné à payer une amende de 200.000 f CFA outre la peine d’une année d’emprisonnement. Le temps pour lui de se ressaisir afin de mettre un terme à son activité destructive de la jeunesse ivoirienne comme l’a souligné le représentant du ministère public.
(AIP)
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