Le rideau est tombé, depuis dimanche soir, sur les éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de football prévue du 21 juin au 19 juillet 2019 en Egypte mais le voile demeure, encore, opaque sur l’attribution des droits TV pour la retransmission de la compétition en Afrique subsaharienne.
L’appel d’offre lancé depuis le 23 février dernier n’a pas encore connu ses délibérations. Et un vent souffle dans les couloirs du siège de la Confédération africaine de football (CAF) où un « conflit d’intérêt et un délit d’initiés» semblent plomber la désignation du partenaire pour acquérir l’exclusivité des droits de retransmission.
Selon des sources proches du dossier, une main obscure au cœur de l’instance du football continental manœuvrerait pour « faire passer le dossier d’un soumissionnaire avec lequel » le présumé faussaire serait en « affaires ».
En fait, il s’agit de faire adjuger le marché par ce soumissionnaire qui bénéficie du parapluie du dirigeant de la CAF, très proche du maître des lieux, en dépit de sa méconnaissance du terrain et qui par la suite, va sous-traiter avec une société-écran (en place déjà) pour vendre les images de la compétition aux télévisions d’Afrique subsaharienne.
Cette combine dont le principal inspirateur, bien connu, du monde des médias et du football africain pour avoir, pendant de nombreuses années, contrôlé les droits de diffusion télé de la compétition africaine, retarde l’ouverture (annoncée pour la semaine écoulée), des plis pour l’attribution des droits, dit-on.
Outre la CAN 2019, l’appel d’offres s’étend sur la CAN 2021 et ses éliminatoires, les éliminatoires de la CAN 2023, les CHAN 2020 et 2022, les CAN féminines 2020 et 2022, la CAN U23 2019, les CAN U20 2021 et 2023, les CAN U17 2021 et 2023, la CAN de Futsal 2020, les CAN de Beach Soccer 2020 et 2022, la Ligue des champions de la CAF pour la période 2019-2023, la Coupe de la Confédération pour la période 2019-2023 et la Super coupe de la CAF pour la période 2020-2023.
HS/ls/APA
L’appel d’offre lancé depuis le 23 février dernier n’a pas encore connu ses délibérations. Et un vent souffle dans les couloirs du siège de la Confédération africaine de football (CAF) où un « conflit d’intérêt et un délit d’initiés» semblent plomber la désignation du partenaire pour acquérir l’exclusivité des droits de retransmission.
Selon des sources proches du dossier, une main obscure au cœur de l’instance du football continental manœuvrerait pour « faire passer le dossier d’un soumissionnaire avec lequel » le présumé faussaire serait en « affaires ».
En fait, il s’agit de faire adjuger le marché par ce soumissionnaire qui bénéficie du parapluie du dirigeant de la CAF, très proche du maître des lieux, en dépit de sa méconnaissance du terrain et qui par la suite, va sous-traiter avec une société-écran (en place déjà) pour vendre les images de la compétition aux télévisions d’Afrique subsaharienne.
Cette combine dont le principal inspirateur, bien connu, du monde des médias et du football africain pour avoir, pendant de nombreuses années, contrôlé les droits de diffusion télé de la compétition africaine, retarde l’ouverture (annoncée pour la semaine écoulée), des plis pour l’attribution des droits, dit-on.
Outre la CAN 2019, l’appel d’offres s’étend sur la CAN 2021 et ses éliminatoires, les éliminatoires de la CAN 2023, les CHAN 2020 et 2022, les CAN féminines 2020 et 2022, la CAN U23 2019, les CAN U20 2021 et 2023, les CAN U17 2021 et 2023, la CAN de Futsal 2020, les CAN de Beach Soccer 2020 et 2022, la Ligue des champions de la CAF pour la période 2019-2023, la Coupe de la Confédération pour la période 2019-2023 et la Super coupe de la CAF pour la période 2020-2023.
HS/ls/APA
