L’activiste franco-béninois, Stellio Gilles Roberts Kapo Chichi, plus connu sous le sobriquet de Kémi Séba, président de l’ONG «Urgences panafricanistes», a été expulsé de la Côte d’Ivoire, mardi soir, pour des « raisons de risques potentiels de troubles », a expliqué le porte-parole du gouvernement, Sidi Touré Tiémoko, ministre de la Communication et des Médias, mercredi, à l’issue du Conseil des ministres présidé par le Chef de l’Etat Alassane Ouattara.
« (…) nos services qui fonctionnent normalement nous ont informé de la présence de M. Kémi Séba sur le sol ivoirien pour une série de conférences. Ces services ont ajouté d’éventuels risques de troubles à l’ordre public à l’occasion desdites manifestations. Ainsi donc, le gouvernement a décidé de l’expulser vers son pays pour des raisons de risques potentiels de troubles », a expliqué à la presse le ministre Sidi Touré Tiémoko.
Kémi Séba séjournait, depuis samedi, à Abidjan, où il devrait rencontrer des organisations de la société civile avant d’animer le 31 mars dans la commune de Yopougon (Ouest d’Abidjan) une conférence publique sur le franc CFA. Mais les choses sont allées très vite mardi pour aboutir, en fin de soirée à l’expulsion de celui qui se réclame défenseur de « la souveraineté nationale» des pays du continent, notamment, ceux de l’espace francophone.
HS/ls/APA
« (…) nos services qui fonctionnent normalement nous ont informé de la présence de M. Kémi Séba sur le sol ivoirien pour une série de conférences. Ces services ont ajouté d’éventuels risques de troubles à l’ordre public à l’occasion desdites manifestations. Ainsi donc, le gouvernement a décidé de l’expulser vers son pays pour des raisons de risques potentiels de troubles », a expliqué à la presse le ministre Sidi Touré Tiémoko.
Kémi Séba séjournait, depuis samedi, à Abidjan, où il devrait rencontrer des organisations de la société civile avant d’animer le 31 mars dans la commune de Yopougon (Ouest d’Abidjan) une conférence publique sur le franc CFA. Mais les choses sont allées très vite mardi pour aboutir, en fin de soirée à l’expulsion de celui qui se réclame défenseur de « la souveraineté nationale» des pays du continent, notamment, ceux de l’espace francophone.
HS/ls/APA