Yamoussoukro - Les acteurs non-étatiques (ANE) de la filière bois ont été instruits sur les nouvelles politiques stratégiques et réglementaires forestières en Côte d’Ivoire, lors d’un atelier organisé mercredi par le Groupe national de travail pour la certification forestière et la gestion durable des forêts en Côte d’Ivoire (GNTCI).
L’atelier s’inscrit dans le cadre du projet du processus APV-FLEGT et le mécanisme REDD+. Il réunit les représentants des meuniers, des vendeurs de bois, producteurs de charbons et des ONG œuvrant dans le domaine de la protection de la forêt.
L’objectif est de renforcer les acquis des ANE locaux sur les procédures en cours, de présenter le cadre juridique de la Côte d’Ivoire en matière de forêts, de faire connaître la procédure pour mieux mener l’exploitation forestière y compris les produits secondaires et les dérivés en la matière.
« Il sera surtout question de présenter les nouvelles politiques stratégiques et réglementaires forestières en cours et leur implication pour les acteurs-non-étatiques », a souligné le coordonnateur du projet le professeur Yaokokoré à l’ouverture des travaux.
Le biologiste de la conservation a ajouté que l’atelier de deux jours permettra également d’identifier avec les acteurs leurs rôles à jouer et leur participation à ces différentes initiatives en cours, et les apports du projet.
En Côte d’Ivoire, un nouveau projet de loi portant code forestier a été validé par le gouvernement et transmis à l'Assemblée nationale pour son analyse et adoption. La nouvelle politique forestière fait le lit de l’initiative café et forêts, et intègre un plan national d’amélioration de la gouvernance forestière en cours de validation pour endiguer les cas de corruptions constatées dans la gestion des affaires forestières.
Financé par l'Union européenne, le projet "Renforcement des capacités des acteurs non – étatiques à améliorer le processus APV-FLEGT et REDD + en Afrique de l’Ouest" vise à améliorer les capacités des ANE, à impliquer d’avantage les ANE marginalisés dans les débats en faveur de l’amélioration de la bonne gouvernance forestière.
nam/cmas
L’atelier s’inscrit dans le cadre du projet du processus APV-FLEGT et le mécanisme REDD+. Il réunit les représentants des meuniers, des vendeurs de bois, producteurs de charbons et des ONG œuvrant dans le domaine de la protection de la forêt.
L’objectif est de renforcer les acquis des ANE locaux sur les procédures en cours, de présenter le cadre juridique de la Côte d’Ivoire en matière de forêts, de faire connaître la procédure pour mieux mener l’exploitation forestière y compris les produits secondaires et les dérivés en la matière.
« Il sera surtout question de présenter les nouvelles politiques stratégiques et réglementaires forestières en cours et leur implication pour les acteurs-non-étatiques », a souligné le coordonnateur du projet le professeur Yaokokoré à l’ouverture des travaux.
Le biologiste de la conservation a ajouté que l’atelier de deux jours permettra également d’identifier avec les acteurs leurs rôles à jouer et leur participation à ces différentes initiatives en cours, et les apports du projet.
En Côte d’Ivoire, un nouveau projet de loi portant code forestier a été validé par le gouvernement et transmis à l'Assemblée nationale pour son analyse et adoption. La nouvelle politique forestière fait le lit de l’initiative café et forêts, et intègre un plan national d’amélioration de la gouvernance forestière en cours de validation pour endiguer les cas de corruptions constatées dans la gestion des affaires forestières.
Financé par l'Union européenne, le projet "Renforcement des capacités des acteurs non – étatiques à améliorer le processus APV-FLEGT et REDD + en Afrique de l’Ouest" vise à améliorer les capacités des ANE, à impliquer d’avantage les ANE marginalisés dans les débats en faveur de l’amélioration de la bonne gouvernance forestière.
nam/cmas