Abidjan, vendredi 5 avril 2019- Jour 2 du Mo Ibrahim Gouvernance Weekend. La salle Balafon (22è étage) du Sofitel hôtel Ivoire a accueilli des élites africaines et européennes pour la session, « Africa/Europe High Level Group » (groupe de réflexion de haut niveau Afrique/Europe), à l’occasion des assises de la 12ème édition du Weekend Ibrahim pour la Gouvernance dont le thème : « la jeunesse africaine : migration faute d’emploi.
C’est la troisième réunion de ce groupe de haut niveau qui a pour vocation de se réunir régulièrement autour de questions liées enjeux politiques, économiques et sociales du continent et les priorités à mettre en œuvre.
Abidjan peut s’enorgueillir. Cette rencontre de haut niveau qui accueille des personnalités de renom telles que Ellen Sirleaf Johnson, ex présidente du Liberia, Festius Mogae, ex président du Bostwana, Joaquim Chissano Albertp, ex président de Mozambique, Jobst Von Kirchmann , Ambassadeur de l’Union européenne, Bono, Co-Fondateur de One Campaign, Gunila Carlsson, DG de UNAIDS, Aranda Gonzales, DG de International Trade Center, Pascal Lamy, président de l’Institut Notre Europe Jacques Delors, ex DG de l’Organisation mondiale du commerce.
Pour un conclave en présence de Mohamed Ibrahim, Fondateur de la Fondation Mo Ibrahim, aux fins d’échanger et faire émerger de nouvelles idées et perspectives pour faire bouger les lignes au niveau de la coopération entre l’Europe et l’Afrique. Comment l’Europe peut aider l’Afrique et vice versa afin d’impacter au mieux les priorités de coopérations bilatérales et ainsi anticiper dans la quête de solutions aux questions de l’employabilité, migration, développement durable, changement climatique et autres….
En outre, un autre temps de fort de cette journée a été le conclave de 100 à 120 jeunes venus d’horizons divers d’Afrique. A la salle Ivoire Business, où ils se sont réunis pour le Now Generation Forum (forum de la génération actuelle) autour du thème principal : « la jeunesse africaine : migration faute d’emploi ? ».
A l’ouverture de cette session, l’initiateur de cet événement, Mohamed Ibrahim, a souligné l’importance d’ouvrir cette réflexion aux jeunes diplômés, exclusivement restreinte aux participants, sans ingérence d’hommes politiques ou présidents d’institutions internationales ou nationales. Cette session vient donner la liberté à la jeunesse africaine de faire le réel diagnostic de la migration irrégulière dans un contexte socioéconomique africain qui peine à employer la majeure partie de sa jeunesse.
JOB
C’est la troisième réunion de ce groupe de haut niveau qui a pour vocation de se réunir régulièrement autour de questions liées enjeux politiques, économiques et sociales du continent et les priorités à mettre en œuvre.
Abidjan peut s’enorgueillir. Cette rencontre de haut niveau qui accueille des personnalités de renom telles que Ellen Sirleaf Johnson, ex présidente du Liberia, Festius Mogae, ex président du Bostwana, Joaquim Chissano Albertp, ex président de Mozambique, Jobst Von Kirchmann , Ambassadeur de l’Union européenne, Bono, Co-Fondateur de One Campaign, Gunila Carlsson, DG de UNAIDS, Aranda Gonzales, DG de International Trade Center, Pascal Lamy, président de l’Institut Notre Europe Jacques Delors, ex DG de l’Organisation mondiale du commerce.
Pour un conclave en présence de Mohamed Ibrahim, Fondateur de la Fondation Mo Ibrahim, aux fins d’échanger et faire émerger de nouvelles idées et perspectives pour faire bouger les lignes au niveau de la coopération entre l’Europe et l’Afrique. Comment l’Europe peut aider l’Afrique et vice versa afin d’impacter au mieux les priorités de coopérations bilatérales et ainsi anticiper dans la quête de solutions aux questions de l’employabilité, migration, développement durable, changement climatique et autres….
En outre, un autre temps de fort de cette journée a été le conclave de 100 à 120 jeunes venus d’horizons divers d’Afrique. A la salle Ivoire Business, où ils se sont réunis pour le Now Generation Forum (forum de la génération actuelle) autour du thème principal : « la jeunesse africaine : migration faute d’emploi ? ».
A l’ouverture de cette session, l’initiateur de cet événement, Mohamed Ibrahim, a souligné l’importance d’ouvrir cette réflexion aux jeunes diplômés, exclusivement restreinte aux participants, sans ingérence d’hommes politiques ou présidents d’institutions internationales ou nationales. Cette session vient donner la liberté à la jeunesse africaine de faire le réel diagnostic de la migration irrégulière dans un contexte socioéconomique africain qui peine à employer la majeure partie de sa jeunesse.
JOB