Abidjan- L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et des partenaires au développement dont le Japon se sont inscrits dans la dynamique de doter à terme à la Côte d’Ivoire de quelque 25 postes frontaliers, en vue de renforcer la sécurité et la cohésion dans ces parties du pays.
En présence du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité, ils ont procédé vendredi à Abidjan, au lancement du projet, "Renforcer la sécurité et la cohésion sociale aux frontières de la Côte d’Ivoire".
La chef de mission de l’OIM, Marina Schramm, a expliqué que la mise en œuvre de ce projet financé par le Japon vise à aider le gouvernement ivoirien à renforcer la sécurité des frontières et la gestion des flux migratoires.
« Il contribue d’une part à améliorer les capacités opérationnelles et stratégiques de la Côte d’Ivoire dans la gestion efficace de ses frontières, et d’autre part, à accroître la sécurité et la cohésion sociale dans les zones frontalières sensibles par le renforcement de la communication, de la cohésion sociale et de la confiance entre les autorités et les communautés et les communautés entre elles », a-t-elle indiqué.
Pour l’ambassadeur du Japon Hideaki Kuramitsu, la Côte d‘Ivoire étant engagée dans une dynamique de développement, la sécurité à ses frontières devient indispensable. Il a indiqué que son pays a financé ce projet à hauteur de 570 millions de FCFA.
« On a établi un premier poste il y a trois mois à Koguiénou et c’est le deuxième poste pour lequel le Japon contribue. D’autres pays membres de l’Union européenne ont déjà réagi dans le même sens. J’espère alors que les 25 postes frontières seront établis aussitôt que possible », a renchéri M. Kuramitsu.
Se félicitant de l’excellent rapport de coopération qui est entretenu entre la Côte d’Ivoire et le Japon, le ministre Sidiki Diakité a salué la réalisation de ce second poste au profit de la Côte d’Ivoire dans le département de Minignan, à Tiéfenso, à la frontière avec le Mali.
« La réalisation de ces postes frontières est extrêmement importante pour la Côte d’Ivoire dans la mesure où la criminalité transnationale, les questions de terrorismes, les véhicules de maladies quelque fois graves à travers la circulation des biens et des personnes aux frontières constituent des préoccupations majeures pour l’Etat de Côte d’Ivoire », a déclaré M. Diakité.
Il a expliqué que ces projets ont l’avantage d’être accompagnés d’un volet formation, sensibilisation des populations et mis en œuvre d’activités génératrices de revenus. « Ce sont des projets importants qui vont non seulement nous permettre de mieux contrôler les flux migratoire avec les Etats voisins, et surtout renforcer la cohésion entre les populations frontalières de nos Etats », a-t-il conclu.
gak/cmas
En présence du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité, ils ont procédé vendredi à Abidjan, au lancement du projet, "Renforcer la sécurité et la cohésion sociale aux frontières de la Côte d’Ivoire".
La chef de mission de l’OIM, Marina Schramm, a expliqué que la mise en œuvre de ce projet financé par le Japon vise à aider le gouvernement ivoirien à renforcer la sécurité des frontières et la gestion des flux migratoires.
« Il contribue d’une part à améliorer les capacités opérationnelles et stratégiques de la Côte d’Ivoire dans la gestion efficace de ses frontières, et d’autre part, à accroître la sécurité et la cohésion sociale dans les zones frontalières sensibles par le renforcement de la communication, de la cohésion sociale et de la confiance entre les autorités et les communautés et les communautés entre elles », a-t-elle indiqué.
Pour l’ambassadeur du Japon Hideaki Kuramitsu, la Côte d‘Ivoire étant engagée dans une dynamique de développement, la sécurité à ses frontières devient indispensable. Il a indiqué que son pays a financé ce projet à hauteur de 570 millions de FCFA.
« On a établi un premier poste il y a trois mois à Koguiénou et c’est le deuxième poste pour lequel le Japon contribue. D’autres pays membres de l’Union européenne ont déjà réagi dans le même sens. J’espère alors que les 25 postes frontières seront établis aussitôt que possible », a renchéri M. Kuramitsu.
Se félicitant de l’excellent rapport de coopération qui est entretenu entre la Côte d’Ivoire et le Japon, le ministre Sidiki Diakité a salué la réalisation de ce second poste au profit de la Côte d’Ivoire dans le département de Minignan, à Tiéfenso, à la frontière avec le Mali.
« La réalisation de ces postes frontières est extrêmement importante pour la Côte d’Ivoire dans la mesure où la criminalité transnationale, les questions de terrorismes, les véhicules de maladies quelque fois graves à travers la circulation des biens et des personnes aux frontières constituent des préoccupations majeures pour l’Etat de Côte d’Ivoire », a déclaré M. Diakité.
Il a expliqué que ces projets ont l’avantage d’être accompagnés d’un volet formation, sensibilisation des populations et mis en œuvre d’activités génératrices de revenus. « Ce sont des projets importants qui vont non seulement nous permettre de mieux contrôler les flux migratoire avec les Etats voisins, et surtout renforcer la cohésion entre les populations frontalières de nos Etats », a-t-il conclu.
gak/cmas