Korhogo, Le coordonnateur du programme d’appui au développement des filières agricoles (PADFA), Auguste Baïmey, se dit « optimiste » et « déterminé » au moment où le projet entre dans sa phase d’exécution après une année de préparation.
« Je suis très optimiste. Je suis content de me retrouver à la tête d’un projet d’une telle ampleur parce que je sais que l’impact de ce projet dans la région va se faire sentir », s’est exprimé, vendredi, M. Baïmey au terme d’un atelier de formation, d’imprégnation et de planification opérationnelle organisé à l’attention de l’unité de coordination du projet.
L’atelier auquel ont collaboré des experts de divers secteurs du développement rural aura permis à M. Baïmey et à son équipe de mesurer l’étendue des attentes et de l’ampleur de la tâche : « je constate que les attentes au niveau de la population et des autorités par rapport à ce projet sont importantes. J’appréhende donc l’étendue du travail qu’il y à faire et je suis animé d’une grande détermination pour relever ce défi », a-t-il ajouté.
Le PADFA a été initié sur les cendres du PROPACOM (Projet d’appui à la production agricole et à la commercialisation) dans le but d’améliorer « durablement » la sécurité alimentaire et nutritionnelle et les revenus des acteurs des filières riz, maraîcher et mangue dans les régions du Poro, de la Bagoué, du Tchologo, du Hambol et du Gbêkê.
Environ 32 500 ménages ruraux, soient 180 000 personnes dont 40% de femmes et autant de jeunes sont ciblés par ce projet qui va durer sept ans.
Pour atteindre ses objectifs, le PADFA interviendra sur l’ensemble des chaînes de valeurs des filières concernées à travers trois composantes que sont : la valorisation des produits agricoles, l’amélioration de la production agricole et la coordination, le suivi-évaluation et la gestion des savoirs. « En somme, il s’agit d’agir de façon à améliorer à la fois les activités de production, de post-récolte, de transformation et de commercialisation » des trois filières, » a résumé le responsable du suivi-évaluation, Sinan Zakalia,
Une cérémonie de lancement officiel de ce projet est prévue dans les prochaines semaines, a annoncé M. Baïmey.
(AIP)
kaem/ask
« Je suis très optimiste. Je suis content de me retrouver à la tête d’un projet d’une telle ampleur parce que je sais que l’impact de ce projet dans la région va se faire sentir », s’est exprimé, vendredi, M. Baïmey au terme d’un atelier de formation, d’imprégnation et de planification opérationnelle organisé à l’attention de l’unité de coordination du projet.
L’atelier auquel ont collaboré des experts de divers secteurs du développement rural aura permis à M. Baïmey et à son équipe de mesurer l’étendue des attentes et de l’ampleur de la tâche : « je constate que les attentes au niveau de la population et des autorités par rapport à ce projet sont importantes. J’appréhende donc l’étendue du travail qu’il y à faire et je suis animé d’une grande détermination pour relever ce défi », a-t-il ajouté.
Le PADFA a été initié sur les cendres du PROPACOM (Projet d’appui à la production agricole et à la commercialisation) dans le but d’améliorer « durablement » la sécurité alimentaire et nutritionnelle et les revenus des acteurs des filières riz, maraîcher et mangue dans les régions du Poro, de la Bagoué, du Tchologo, du Hambol et du Gbêkê.
Environ 32 500 ménages ruraux, soient 180 000 personnes dont 40% de femmes et autant de jeunes sont ciblés par ce projet qui va durer sept ans.
Pour atteindre ses objectifs, le PADFA interviendra sur l’ensemble des chaînes de valeurs des filières concernées à travers trois composantes que sont : la valorisation des produits agricoles, l’amélioration de la production agricole et la coordination, le suivi-évaluation et la gestion des savoirs. « En somme, il s’agit d’agir de façon à améliorer à la fois les activités de production, de post-récolte, de transformation et de commercialisation » des trois filières, » a résumé le responsable du suivi-évaluation, Sinan Zakalia,
Une cérémonie de lancement officiel de ce projet est prévue dans les prochaines semaines, a annoncé M. Baïmey.
(AIP)
kaem/ask