Abidjan -Le ministre du Pétrole, de l’Energie et des Energies renouvelables, Abdourahmane Cissé a rassuré la jeunesse ivoirienne qu’au vu des opportunités économique en Côte d’Ivoire, le gouvernement fera sa part pour leur assurer une croissance inclusive.
Se prononçant sur le thème, «une jeunesse explosive confrontée à une croissance sans emploi», samedi, lors du forum Mo Ibrahim qui s’est tenu du 5 au 7 avril, à Abidjan, le ministre a promis que le gouvernement, sous l’autorité du Président Alassane Ouattara, est engagé à offrir un environnement des affaires le plus propice au développement des jeunes.
«Nous allons travailler plus. Toutefois, faut-il que nos jeunes continuent de rêver parce que c’est le désespoir qui pousse les gens à aller à l’extérieur. Il ne faut pas baisser les bras, il faut continuer à rêver, il faut avoir l’audace, il faut continuer à travailler, il faut persévérer », a suggéré Abdourahmane Cissé.
Il a précisé qu’au cours des six et sept dernières années, la croissance économique s’est accrue à environ 8 à 9% en moyenne par an. Toutefois, le ministre se dit conscient que des efforts restent à faire pour une amélioration complète des conditions de vie des populations.
«C’est pourquoi le chef de l’Etat a décidé en fin décembre dernier de lancer un programme spécifique mettant l’accent sur le social pour un budget d’un peu plus de 700 milliards de francs CFA sur les deux prochaines années. Ce qui va permettre justement de cibler des actions spécifiques dans le social pour faire en sorte qu'aucun Ivoirien ne soit laissé pour compte », a-t-il relevé.
Il a promis que l’accent est mis sur l’accès à l’électricité, l’eau, l’éducation, et bien d’autres sujets.
Pour réduire le problème de l’immigration irrégulière, le ministre a estimé que l’éducation et la formation sont les seuls moyens.
«C’est en cela que les initiatives menées par le président Alassane Ouattara et le gouvernement mettent l’accent sur l’enseignement professionnel, les écoles spécialisées qui sont assez importantes », a-t-il indiqué.
En Afrique subsaharienne, les Etats doivent créer 800 millions d’emplois d’ici 2050 pour résorber la question du chômage.
En plus du ministre ivoirien, le président de la Banque africaine de développement (BAD) Akinwumi Adesina, l’ancien Premier ministre de la République d’Ethiopie et l’Economiste en chef, développement humain à la Banque mondiale, Roberta Gatti ont pris part à ce panel.
bsp/fmo
Se prononçant sur le thème, «une jeunesse explosive confrontée à une croissance sans emploi», samedi, lors du forum Mo Ibrahim qui s’est tenu du 5 au 7 avril, à Abidjan, le ministre a promis que le gouvernement, sous l’autorité du Président Alassane Ouattara, est engagé à offrir un environnement des affaires le plus propice au développement des jeunes.
«Nous allons travailler plus. Toutefois, faut-il que nos jeunes continuent de rêver parce que c’est le désespoir qui pousse les gens à aller à l’extérieur. Il ne faut pas baisser les bras, il faut continuer à rêver, il faut avoir l’audace, il faut continuer à travailler, il faut persévérer », a suggéré Abdourahmane Cissé.
Il a précisé qu’au cours des six et sept dernières années, la croissance économique s’est accrue à environ 8 à 9% en moyenne par an. Toutefois, le ministre se dit conscient que des efforts restent à faire pour une amélioration complète des conditions de vie des populations.
«C’est pourquoi le chef de l’Etat a décidé en fin décembre dernier de lancer un programme spécifique mettant l’accent sur le social pour un budget d’un peu plus de 700 milliards de francs CFA sur les deux prochaines années. Ce qui va permettre justement de cibler des actions spécifiques dans le social pour faire en sorte qu'aucun Ivoirien ne soit laissé pour compte », a-t-il relevé.
Il a promis que l’accent est mis sur l’accès à l’électricité, l’eau, l’éducation, et bien d’autres sujets.
Pour réduire le problème de l’immigration irrégulière, le ministre a estimé que l’éducation et la formation sont les seuls moyens.
«C’est en cela que les initiatives menées par le président Alassane Ouattara et le gouvernement mettent l’accent sur l’enseignement professionnel, les écoles spécialisées qui sont assez importantes », a-t-il indiqué.
En Afrique subsaharienne, les Etats doivent créer 800 millions d’emplois d’ici 2050 pour résorber la question du chômage.
En plus du ministre ivoirien, le président de la Banque africaine de développement (BAD) Akinwumi Adesina, l’ancien Premier ministre de la République d’Ethiopie et l’Economiste en chef, développement humain à la Banque mondiale, Roberta Gatti ont pris part à ce panel.
bsp/fmo
