Le gouvernement ivoirien a adopté, mercredi, un projet de loi autorisant le chef de l’Etat à ratifier la convention de Minamata sur le mercure signé le 10 octobre 2013 au Japon, dans le cadre de la lutte contre l’orpaillage clandestin.
Expliquant le texte à l’issue du Conseil des ministres, le ministre de la communication et des médias également porte-parole du gouvernement, Sidi Touré, a indiqué que « la convention vise à réduire durablement- la production et l’utilisation de mercure dans les processus de fabrication industrielles, voire artisanale. Elle réglemente le commerce, le stockage et le traitement des déchets qui contiennent du mercure ».
Cette convention a plusieurs exigences. En effet , précise le Porte-parole, « elle prévoit à cet effet un mécanisme de surveillance qui oblige les Etats parties à élaborer des plans d’actions nationaux destinés à l’élimination des formes les plus néfastes d’utilisation du mercure en vue de diminuer significativement la charge de mercure et de circonscrire les risques pour la santé ».
« La ratification de cette convention permettra à notre pays de concert avec les autres nations de lutter contre la prolifération et l’intensification de l’orpaillage anarchique illégale, et clandestin », a conclu M. Touré.
SY/ls/APA
Expliquant le texte à l’issue du Conseil des ministres, le ministre de la communication et des médias également porte-parole du gouvernement, Sidi Touré, a indiqué que « la convention vise à réduire durablement- la production et l’utilisation de mercure dans les processus de fabrication industrielles, voire artisanale. Elle réglemente le commerce, le stockage et le traitement des déchets qui contiennent du mercure ».
Cette convention a plusieurs exigences. En effet , précise le Porte-parole, « elle prévoit à cet effet un mécanisme de surveillance qui oblige les Etats parties à élaborer des plans d’actions nationaux destinés à l’élimination des formes les plus néfastes d’utilisation du mercure en vue de diminuer significativement la charge de mercure et de circonscrire les risques pour la santé ».
« La ratification de cette convention permettra à notre pays de concert avec les autres nations de lutter contre la prolifération et l’intensification de l’orpaillage anarchique illégale, et clandestin », a conclu M. Touré.
SY/ls/APA