Une alliance internationale multipartite d’organisations diverses qui considèrent l’agriculture comme une entreprise dotée d’une force collective et d’un pouvoir transformateur, et qui a pour mission d’accroître les capacités professionnelles des organisations agricoles, a lancé officiellement ses activités en Côte d’Ivoire, ce mardi 16 avril, à l’hôtel Azalaï à Abidjan.
Une opportunité pour les OPA (Organisations professionnelles agricoles) d’adopter une démarche qualité dans la production pour augmenter leurs revenus et surtout à avoir plus de crédibilité vis-à-vis des institutions financières pour faciliter l’accès à plus de crédit et à développer leur volume affaires.
La Société Financière Internationale (IFC) et ses partenaires ont procédé au lancement de la section Côte d’Ivoire de l’« Agribusiness Market Ecosystem Alliance » (AMEA) dans le but d’améliorer la qualité et la performance des chaînes de valeur de l’agriculture et de l’agro-industrie en Côte d’Ivoire.
Au cours d’une cérémonie qui a connu la mobilisation des acteurs de la chaine de valeur de l’agriculture et de l’agroalimentaire, notamment les représentants du secteur public et du secteur privé ainsi que les représentants des organisations professionnelles agricoles.
L’AMEA vient développer une communauté de bonnes pratiques dans la chaîne de valeur de l’agriculture et de l’agrobusiness et soutenir le réseautage entre les coopératives et avec les organisations d’appui aux activités agricoles.
Elle fournira du matériel de formation et d’encadrement aux coopératives et établira un répertoire public accessible des coopératives, des fournisseurs de services et des projets en Côte d’Ivoire.
C’est dans cette veine que le Représentant régional d’IFC, Olivier Buyoya a souligné qu’une alliance comme celle de l’AMEA, offre une opportunité unique aux principaux acteurs d’unir leurs expertises en vue d’aider les OPA (Organisations professionnelles agricoles) à mieux se structurer et à gérer plus efficacement leurs ressources.
« J’aimerai réitérer la fierté d’IFC d’accompagner la création de l’AMEA en Côte d’Ivoire, et la promesse de notre dynamisme pour faire de cette plateforme la référence de la professionnalisation des OPA dans le pays.
Je souhaiterai, en outre, encourager l’ensemble des participants à cette rencontre, particulièrement les autres entités fondatrices de l’AMEA et tous nos partenaires qui souhaitent rejoindre l’Alliance à utiliser la présente rencontre pour échanger autour des défis et surtout des opportunités liées à la professionnalisation de la chaine de valeur agricole », a-t-il déclaré.
De façon spécifique, la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de cacao et de noix de cajou ; Elle exporte également de l’huile de palme, du coton, des ananas, des mangues et des bananes. Pourtant le pays fait face à des défis liés, entre autres, à la faible transformation des produits agricoles, à la qualité insuffisante de certains produits et aux pertes post récolte dans certaines chaînes de valeur.
JOB
Une opportunité pour les OPA (Organisations professionnelles agricoles) d’adopter une démarche qualité dans la production pour augmenter leurs revenus et surtout à avoir plus de crédibilité vis-à-vis des institutions financières pour faciliter l’accès à plus de crédit et à développer leur volume affaires.
La Société Financière Internationale (IFC) et ses partenaires ont procédé au lancement de la section Côte d’Ivoire de l’« Agribusiness Market Ecosystem Alliance » (AMEA) dans le but d’améliorer la qualité et la performance des chaînes de valeur de l’agriculture et de l’agro-industrie en Côte d’Ivoire.
Au cours d’une cérémonie qui a connu la mobilisation des acteurs de la chaine de valeur de l’agriculture et de l’agroalimentaire, notamment les représentants du secteur public et du secteur privé ainsi que les représentants des organisations professionnelles agricoles.
L’AMEA vient développer une communauté de bonnes pratiques dans la chaîne de valeur de l’agriculture et de l’agrobusiness et soutenir le réseautage entre les coopératives et avec les organisations d’appui aux activités agricoles.
Elle fournira du matériel de formation et d’encadrement aux coopératives et établira un répertoire public accessible des coopératives, des fournisseurs de services et des projets en Côte d’Ivoire.
C’est dans cette veine que le Représentant régional d’IFC, Olivier Buyoya a souligné qu’une alliance comme celle de l’AMEA, offre une opportunité unique aux principaux acteurs d’unir leurs expertises en vue d’aider les OPA (Organisations professionnelles agricoles) à mieux se structurer et à gérer plus efficacement leurs ressources.
« J’aimerai réitérer la fierté d’IFC d’accompagner la création de l’AMEA en Côte d’Ivoire, et la promesse de notre dynamisme pour faire de cette plateforme la référence de la professionnalisation des OPA dans le pays.
Je souhaiterai, en outre, encourager l’ensemble des participants à cette rencontre, particulièrement les autres entités fondatrices de l’AMEA et tous nos partenaires qui souhaitent rejoindre l’Alliance à utiliser la présente rencontre pour échanger autour des défis et surtout des opportunités liées à la professionnalisation de la chaine de valeur agricole », a-t-il déclaré.
De façon spécifique, la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de cacao et de noix de cajou ; Elle exporte également de l’huile de palme, du coton, des ananas, des mangues et des bananes. Pourtant le pays fait face à des défis liés, entre autres, à la faible transformation des produits agricoles, à la qualité insuffisante de certains produits et aux pertes post récolte dans certaines chaînes de valeur.
JOB