«La voix du développement », mission de communication axée sur les réalisations du Gouvernement initiée par le Ministère de la Communication et des médias, a débuté vendredi à Soubré avec la visite du nouveau barrage de la ville et le site de la relocalisation des populations déplacées en raison du projet…
La ville de Soubré, située à l’ouest de la Côte d’Ivoire est la première étape de la campagne de communication sur les actions du Gouvernement dénommée « La Voie du Développement ». Cette ville a été prise d’assaut, ce vendredi 12 avril 2019, par une délégation de journalistes exerçant sur le territoire ivoirien.
Objectif, faire connaître les actions et réalisations du Gouvernement dans la NAWA ainsi que leurs impacts sur la population.
L’une des réalisations qui ne passe pas inaperçue dans ce chef-lieu de la région est l’architecture du nouveau barrage hydroélectrique, construit en quatre années (2013-2017). C’est à juste titre que le Ministre de la Communication et des médias accompagné d’une délégation de journalistes a effectué une visite guidée sur ce site.
Ce joyau de plus de 4,5 km de long et 20 mètres de haut est à ce jour, le plus grand aménagement hydroélectrique de la Côte d’Ivoire.
Les impacts du barrage hydro-électrique
D’un coût global de 331 milliards de francs CFA, Le barrage de Soubré permet à la Côte d’Ivoire de desservir certains pays africains tels la Guinée-Conakry, le Libéria, le Ghana, le Bénin, le Togo, le Burkina Faso et le Mali tout en étant autosuffisante en besoins d’énergie électrique au plan national.
Cet ouvrage, selon le Ministre, favorise déjà l’accès des populations aux services essentiels, logements, énergie, transport, eau potable et aux biens de service de grande consommation à un coût abordable ainsi qu’à un cadre de vie adéquat.
Il a fait remarquer également que la réalisation de ce barrage hydro a créé les conditions d’amélioration du bien-être des populations en milieu rural et assurer la sécurité alimentaire.
Ce projet d’aménagement hydroélectrique de Soubré, avec un productible annuel d’environ 1 100 GWh, permet de relever le niveau de l’hydroélectricité en Côte d’Ivoire, de rééquilibrer le mix énergétique et de faire face, à moindre coût, à l’évolution croissante de la consommation nationale.
Au plan économique,
Le barrage de Soubré contribue à la réduction de la pauvreté, au développement durable et à une meilleure intégration socio-économique de la population rurale vivant le long du fleuve Sassandra. Il a également facilité l’électrification de plusieurs villages, la construction d’infrastructures telles que des marchés, des logements, des écoles, un centre de santé, un complexe sportif, etc.
Des logements construits
La réalisation du barrage a nécessité la mobilisation des plusieurs hectares de terres, la destruction de centaines d’hectares de plantations et le déplacement de plusieurs villages. Le Gouvernement ivoirien dans sa politique sociale, a donc entrepris la construction de plusieurs logements pour relocaliser les populations déplacées. Les populations des 12 villages affectés par la construction de l’ouvrage ont été pour la plupart relocalisées à Galléa dans les logements construits à cet effet.
Les propriétaires terriens et exploitants agricoles dont les plantations ont été détruites, ont été dédommagés et indemnisés.
La ville de Soubré, située à l’ouest de la Côte d’Ivoire est la première étape de la campagne de communication sur les actions du Gouvernement dénommée « La Voie du Développement ». Cette ville a été prise d’assaut, ce vendredi 12 avril 2019, par une délégation de journalistes exerçant sur le territoire ivoirien.
Objectif, faire connaître les actions et réalisations du Gouvernement dans la NAWA ainsi que leurs impacts sur la population.
L’une des réalisations qui ne passe pas inaperçue dans ce chef-lieu de la région est l’architecture du nouveau barrage hydroélectrique, construit en quatre années (2013-2017). C’est à juste titre que le Ministre de la Communication et des médias accompagné d’une délégation de journalistes a effectué une visite guidée sur ce site.
Ce joyau de plus de 4,5 km de long et 20 mètres de haut est à ce jour, le plus grand aménagement hydroélectrique de la Côte d’Ivoire.
Les impacts du barrage hydro-électrique
D’un coût global de 331 milliards de francs CFA, Le barrage de Soubré permet à la Côte d’Ivoire de desservir certains pays africains tels la Guinée-Conakry, le Libéria, le Ghana, le Bénin, le Togo, le Burkina Faso et le Mali tout en étant autosuffisante en besoins d’énergie électrique au plan national.
Cet ouvrage, selon le Ministre, favorise déjà l’accès des populations aux services essentiels, logements, énergie, transport, eau potable et aux biens de service de grande consommation à un coût abordable ainsi qu’à un cadre de vie adéquat.
Il a fait remarquer également que la réalisation de ce barrage hydro a créé les conditions d’amélioration du bien-être des populations en milieu rural et assurer la sécurité alimentaire.
Ce projet d’aménagement hydroélectrique de Soubré, avec un productible annuel d’environ 1 100 GWh, permet de relever le niveau de l’hydroélectricité en Côte d’Ivoire, de rééquilibrer le mix énergétique et de faire face, à moindre coût, à l’évolution croissante de la consommation nationale.
Au plan économique,
Le barrage de Soubré contribue à la réduction de la pauvreté, au développement durable et à une meilleure intégration socio-économique de la population rurale vivant le long du fleuve Sassandra. Il a également facilité l’électrification de plusieurs villages, la construction d’infrastructures telles que des marchés, des logements, des écoles, un centre de santé, un complexe sportif, etc.
Des logements construits
La réalisation du barrage a nécessité la mobilisation des plusieurs hectares de terres, la destruction de centaines d’hectares de plantations et le déplacement de plusieurs villages. Le Gouvernement ivoirien dans sa politique sociale, a donc entrepris la construction de plusieurs logements pour relocaliser les populations déplacées. Les populations des 12 villages affectés par la construction de l’ouvrage ont été pour la plupart relocalisées à Galléa dans les logements construits à cet effet.
Les propriétaires terriens et exploitants agricoles dont les plantations ont été détruites, ont été dédommagés et indemnisés.