La directrice générale du Groupe de la Banque mondiale, Kristalina Georgieva, a inauguré mercredi un Centre d’excellence africain dédié à la formation sur le changement climatique, la biodiversité et l’agriculture durable d’un coût de 37,73 milliards Fcfa, à Bingerville, à l’Est d’Abidjan.
Elle avait à ses côtés le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Toikeusse Mabri, qui a salué le groupe de la Banque mondiale pour la réalisation de ce centre d’excellence, le troisième, qui devrait permettre de soutenir la transformation et la conservation des produits agricoles.
La Côte d’Ivoire, une puissance agricole régionale, veut anticiper sur les bouleversements climatiques. Le pays, premier producteur mondial de cacao et de noix de cajou, envisage d’optimiser la recherche afin d’avoir un impact sur le rendement de ses productions agricoles.
Mme Kristalina Georgieva, s’est dite « très impressionnée du dynamisme entrepreneurial des femmes ivoiriennes, lors d’une visite d’un stand présentant des produits innovants bruts ou transformés, ainsi que l’énergie autour de l’autonomisation des femmes.
Elle est par ailleurs présente en Côte d’Ivoire dans le cadre du premier Sommet régional de l’Initiative de financement en faveur des femmes entrepreneurs (We-Fi) en Afrique de l’Ouest, qui a enregistré la participation de Ivanka Trump, la fille de Donald Trump.
La Banque mondiale, dira-t-elle, est prête à investir davantage pour appuyer le capital humain en Côte d’Ivoire notamment l’éducation, la santé et l’agriculture. Aujourd’hui, la banque a « un portefeuille de 2,2 milliards de dollars américains en Côte d’Ivoire».
Le Centre d’excellence africain sur les changements climatiques, la biodiversité et l’agriculture durable (CEA-CCBAD) a deux axes majeurs, notamment la biodiversité et les services écosystémiques puis l’agriculture durable. Il forme en Master et en PHD.
Il a été construit sur le site du Pôle scientifique et d’innovation de l’Université Félix Houphouët-Boigny de Bingerville.
AP/ls/APA
Elle avait à ses côtés le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Toikeusse Mabri, qui a salué le groupe de la Banque mondiale pour la réalisation de ce centre d’excellence, le troisième, qui devrait permettre de soutenir la transformation et la conservation des produits agricoles.
La Côte d’Ivoire, une puissance agricole régionale, veut anticiper sur les bouleversements climatiques. Le pays, premier producteur mondial de cacao et de noix de cajou, envisage d’optimiser la recherche afin d’avoir un impact sur le rendement de ses productions agricoles.
Mme Kristalina Georgieva, s’est dite « très impressionnée du dynamisme entrepreneurial des femmes ivoiriennes, lors d’une visite d’un stand présentant des produits innovants bruts ou transformés, ainsi que l’énergie autour de l’autonomisation des femmes.
Elle est par ailleurs présente en Côte d’Ivoire dans le cadre du premier Sommet régional de l’Initiative de financement en faveur des femmes entrepreneurs (We-Fi) en Afrique de l’Ouest, qui a enregistré la participation de Ivanka Trump, la fille de Donald Trump.
La Banque mondiale, dira-t-elle, est prête à investir davantage pour appuyer le capital humain en Côte d’Ivoire notamment l’éducation, la santé et l’agriculture. Aujourd’hui, la banque a « un portefeuille de 2,2 milliards de dollars américains en Côte d’Ivoire».
Le Centre d’excellence africain sur les changements climatiques, la biodiversité et l’agriculture durable (CEA-CCBAD) a deux axes majeurs, notamment la biodiversité et les services écosystémiques puis l’agriculture durable. Il forme en Master et en PHD.
Il a été construit sur le site du Pôle scientifique et d’innovation de l’Université Félix Houphouët-Boigny de Bingerville.
AP/ls/APA