Niakara, Des producteurs de cajou du département de Niakara, confrontés à la mévente de ce produit, ont décidé de délaisser la filière pour des cultures vivrières en y consacrant davantage d'énergie.
"Il y a quelques pluies donc je ne peux que rendre grâce au Seigneur et me consacrer sérieusement à la culture de l'igname et du riz pour tenter de sauver l'année 2019", a confié à l'AIP, René Ouattara Waota, 44 ans, un producteur du village d'Angolokaha, dans la sous-préfecture de Niakara.
L'option est, selon lui, partagée par plusieurs de ses pairs qui se disent "désillusionnés par la campagne de commercialisation de la noix de cajou 2019 en cours". Ces producteurs de cajou soutiennent être guidés par le souci d'éviter de mourir de faim.
(AIP)
jbm/kg/fmo
"Il y a quelques pluies donc je ne peux que rendre grâce au Seigneur et me consacrer sérieusement à la culture de l'igname et du riz pour tenter de sauver l'année 2019", a confié à l'AIP, René Ouattara Waota, 44 ans, un producteur du village d'Angolokaha, dans la sous-préfecture de Niakara.
L'option est, selon lui, partagée par plusieurs de ses pairs qui se disent "désillusionnés par la campagne de commercialisation de la noix de cajou 2019 en cours". Ces producteurs de cajou soutiennent être guidés par le souci d'éviter de mourir de faim.
(AIP)
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