La « diva du Ouassoulou», l’artiste-chanteuse malienne Oumou Sangaré a communié dans la nuit de vendredi à samedi avec des milliers de festivaliers de la 12è édition du festival des musiques urbaines d’Anoumabo ( FEMUA) dans un concert live donné à l’Institut national de la jeunesse et des sports ( INJS) à Marcory dans le Sud d’Abidjan.
C’est aux environs de minuit et demi que la star malienne considérée comme l’une des plus belles voix d’Afrique, est annoncée sur la scène du concert sous une salve d’applaudissements du public.
Dans une prestation enlevée qui a duré près d’une heure d’horloge, Oumou Sangaré a égayé les mélomanes avec plusieurs titres phares de sa riche discographie dont « Kaméléba» et « Kounandia».
Dans ce dernier titre (Kounandia ou chance en français), la star malienne a soutenu que « dans la vie, il faut tendre la main à ceux qui ont moins de chance que soi comme les Magic System le font en ce moment pour des artistes ».
« Ça été un plaisir. Je ne joue pas beaucoup et quand je me vois devant un public africain et surtout qui me comprend, ça me fait chaud au cœur», a dit la diva malienne à la presse au terme de sa prestation, saluant dans la foulée le thème de ce festival.
« Sans la femme, il n’y a pas de vie», a estimé Oumou Sangaré. Avant elle, plusieurs artistes ivoiriens dont Mulukuku DJ, Allah Thérèse et Claire Bailly ont fait vibrer eux aussi les spectateurs. C’est Allah Thérèse, l’une des pionnières de la musique traditionnelle ivoirienne qui totalise plusieurs décennies de présence sur la scène musicale en Côte d’Ivoire qui a inauguré cette grande scène marquant la quatrième journée de ce festival.
Cette doyenne de la musique ivoirienne a su tenir en haleine le jeune public pendant plus d’une demi-heure. Il est 23h30 ( heure locale et GMT) lorsque Claire Bailly, celle qui se fait appeler la première dame du coupé-décalé ( Musique urbaine en vogue en Côte d’Ivoire) monte sur scène.
Tout comme ses prédécesseurs, la conceptrice du « Bobaradeni» fait danser, à son tour les mélomanes égrenant plusieurs titres dont « Tiens ça » et « Bobaradeni».
« Je suis en même temps étonnée et épatée devant ce public », a indiqué pour sa part, la « première dame du coupé-décalé » , exprimant sa gratitude au groupe Magic System qui « m’a donné cette chance aujourd’hui ».
La douzième édition du FEMUA, l’un des plus grands festivals de l’Afrique subsaharienne, organisé par le mythique groupe musical ivoirien « Magic System », s’est ouverte mardi dernier autour du thème « Genre et développement ». Plusieurs activités culturelles ont meublé ce festival qui s’achèvera dimanche à Gagnoa, dans le Centre-ouest ivoirien par un grand concert.
AP/ls/APA
C’est aux environs de minuit et demi que la star malienne considérée comme l’une des plus belles voix d’Afrique, est annoncée sur la scène du concert sous une salve d’applaudissements du public.
Dans une prestation enlevée qui a duré près d’une heure d’horloge, Oumou Sangaré a égayé les mélomanes avec plusieurs titres phares de sa riche discographie dont « Kaméléba» et « Kounandia».
Dans ce dernier titre (Kounandia ou chance en français), la star malienne a soutenu que « dans la vie, il faut tendre la main à ceux qui ont moins de chance que soi comme les Magic System le font en ce moment pour des artistes ».
« Ça été un plaisir. Je ne joue pas beaucoup et quand je me vois devant un public africain et surtout qui me comprend, ça me fait chaud au cœur», a dit la diva malienne à la presse au terme de sa prestation, saluant dans la foulée le thème de ce festival.
« Sans la femme, il n’y a pas de vie», a estimé Oumou Sangaré. Avant elle, plusieurs artistes ivoiriens dont Mulukuku DJ, Allah Thérèse et Claire Bailly ont fait vibrer eux aussi les spectateurs. C’est Allah Thérèse, l’une des pionnières de la musique traditionnelle ivoirienne qui totalise plusieurs décennies de présence sur la scène musicale en Côte d’Ivoire qui a inauguré cette grande scène marquant la quatrième journée de ce festival.
Cette doyenne de la musique ivoirienne a su tenir en haleine le jeune public pendant plus d’une demi-heure. Il est 23h30 ( heure locale et GMT) lorsque Claire Bailly, celle qui se fait appeler la première dame du coupé-décalé ( Musique urbaine en vogue en Côte d’Ivoire) monte sur scène.
Tout comme ses prédécesseurs, la conceptrice du « Bobaradeni» fait danser, à son tour les mélomanes égrenant plusieurs titres dont « Tiens ça » et « Bobaradeni».
« Je suis en même temps étonnée et épatée devant ce public », a indiqué pour sa part, la « première dame du coupé-décalé » , exprimant sa gratitude au groupe Magic System qui « m’a donné cette chance aujourd’hui ».
La douzième édition du FEMUA, l’un des plus grands festivals de l’Afrique subsaharienne, organisé par le mythique groupe musical ivoirien « Magic System », s’est ouverte mardi dernier autour du thème « Genre et développement ». Plusieurs activités culturelles ont meublé ce festival qui s’achèvera dimanche à Gagnoa, dans le Centre-ouest ivoirien par un grand concert.
AP/ls/APA