Les relations entre la Cote d’Ivoire et le royaume du Maroc sont au beau fixe. Une délégation du royaume chérifien a pris part ce mardi 30 Avril, à Abidjan, à un atelier de planification de coopération sud-sud entre les deux pays en matière de politique migratoire.
Cet atelier vise à faciliter et promouvoir le partage d’expérience et transfert de bonne pratiques en matière de migration entre les parties prenantes institutionnelles, administratives et non-gouvernementales du Maroc, de la Cote d’Ivoire, le Mali et le Sénégal.
Le Maroc a initié depuis plusieurs années une politique migratoire ambitieuse qui souhaite à la fois renforcer les liens du Maroc avec ses ressortissants installés à l’étranger et favoriser l’intégration au Maroc des immigrés originaires notamment d’Afrique de L’ouest.
A ce titre, plusieurs mémorandums ont été signés avec diffèrent pays, dont la Côte d’Ivoire en janvier 2015.
Imad Eddine El Kadiri Boutchich, représentant du Ministère délégué auprès du Ministère des Affaires Étrangères et de la coopération internationale chargé des marocains résidant à L’étranger et des affaires de la migration, a indiqué que 5 millions de marocains qui constituent 15% de la population résident à l’extérieur. Toutefois, une politique de mobilisation de compétence marocaine à l’étranger est exécutée brillamment et cette expérience sera mis à la disposition de la Cote d’Ivoire.
Si les ivoiriens migrent vers d’autres cieux, cela est dû entre autres au facteur d’accélérateur de richesse et aussi de l’apatridie. A soutenu Issiaka Konaté, Directeur Général des Ivoiriens de L’extérieur. Les couches les plus concernées sont la filière des footballeurs et des femmes de ménage.
Il a indiqué également que : « sans la Cote d’Ivoire, les pays de la CEDEAO auraient du mal à fonctionner car c’est le pays qui accueille le plus de population des pays de la sous- région avec des facilités de leur intégration ». Pour lui, cet atelier va permettre également de voir le niveau d’évolution e l’application des points saillants de cet accord qui s’étend sur trois années.
Selon la fondation Mo Ibrahim, la migration inter-régionale est de 70%. Les résultats de cette coopération vont donc permettre de mieux gérer les flux migratoires et l’intégration des migrants.
Cet atelier est financé par L’Union Européenne à travers le Fonds fiduciaire d’urgence (FFU) et le Ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ)
Cet atelier vise à faciliter et promouvoir le partage d’expérience et transfert de bonne pratiques en matière de migration entre les parties prenantes institutionnelles, administratives et non-gouvernementales du Maroc, de la Cote d’Ivoire, le Mali et le Sénégal.
Le Maroc a initié depuis plusieurs années une politique migratoire ambitieuse qui souhaite à la fois renforcer les liens du Maroc avec ses ressortissants installés à l’étranger et favoriser l’intégration au Maroc des immigrés originaires notamment d’Afrique de L’ouest.
A ce titre, plusieurs mémorandums ont été signés avec diffèrent pays, dont la Côte d’Ivoire en janvier 2015.
Imad Eddine El Kadiri Boutchich, représentant du Ministère délégué auprès du Ministère des Affaires Étrangères et de la coopération internationale chargé des marocains résidant à L’étranger et des affaires de la migration, a indiqué que 5 millions de marocains qui constituent 15% de la population résident à l’extérieur. Toutefois, une politique de mobilisation de compétence marocaine à l’étranger est exécutée brillamment et cette expérience sera mis à la disposition de la Cote d’Ivoire.
Si les ivoiriens migrent vers d’autres cieux, cela est dû entre autres au facteur d’accélérateur de richesse et aussi de l’apatridie. A soutenu Issiaka Konaté, Directeur Général des Ivoiriens de L’extérieur. Les couches les plus concernées sont la filière des footballeurs et des femmes de ménage.
Il a indiqué également que : « sans la Cote d’Ivoire, les pays de la CEDEAO auraient du mal à fonctionner car c’est le pays qui accueille le plus de population des pays de la sous- région avec des facilités de leur intégration ». Pour lui, cet atelier va permettre également de voir le niveau d’évolution e l’application des points saillants de cet accord qui s’étend sur trois années.
Selon la fondation Mo Ibrahim, la migration inter-régionale est de 70%. Les résultats de cette coopération vont donc permettre de mieux gérer les flux migratoires et l’intégration des migrants.
Cet atelier est financé par L’Union Européenne à travers le Fonds fiduciaire d’urgence (FFU) et le Ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ)