Bouaké- La promotion de la signature de contrats entre les propriétaires terriens et les producteurs de coton sera intégrée dans le cahier de charge du conseil agricole lors de sa prochaine actualisation, pour garantir la disponibilité des terres pour une production de coton durable.
Les acteurs de la filière coton, notamment, des représentants de INTERCOTON, de la Fédération des producteurs de coton de Côte d’Ivoire (FPC-CI), des unions de coopérative, du Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA) et trois sociétés cotonnières (SECO, CIDT, IVOIRE COTON) ont pris cette décision lors d’un atelier qui s’est tenu, vendredi et samedi, à Bouandougou (département de Mankono).
Il s’agit d’amener les propriétaires terriens et les agriculteurs à formaliser les contrats qui existent entre eux pour protéger les intérêts des différents acteurs et garantir l’avenir de la culture du coton étroitement lié à la disponibilité des terres et à leur sécurisation.
Cette activité qui s’intègre désormais dans le cahier de charges des conseillers agricoles chargés de l’encadrement des producteurs de coton, sera menée avec l’appui de la fédération des producteurs de Coton de Côte d’Ivoire (FPC-CI).
La promotion de la contractualisation entre propriétaires terriens et agriculteurs s’inscrit dans l’objectif du projet «Action d’accélération de l’application de la loi relative au domaine du foncier rural dans le bassin cotonnier». Ce projet est piloté par INTETCOTON avec un financement de l’Union-Européenne dans le département de Mankono où la majorité des producteurs de coton sont des allochtones.
Le président de l’atelier, Koné Lassina, membre du conseil de surveillance de la FPC-CI, représentant le président de INTERCOTON, se réjouit de cette démarche qui contribuera à l’atteinte de l’objectif de l’Etat de faire de la Côte d’Ivoire le premier pays producteur de coton en Afrique de l’Ouest.
nbf/kam
Les acteurs de la filière coton, notamment, des représentants de INTERCOTON, de la Fédération des producteurs de coton de Côte d’Ivoire (FPC-CI), des unions de coopérative, du Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA) et trois sociétés cotonnières (SECO, CIDT, IVOIRE COTON) ont pris cette décision lors d’un atelier qui s’est tenu, vendredi et samedi, à Bouandougou (département de Mankono).
Il s’agit d’amener les propriétaires terriens et les agriculteurs à formaliser les contrats qui existent entre eux pour protéger les intérêts des différents acteurs et garantir l’avenir de la culture du coton étroitement lié à la disponibilité des terres et à leur sécurisation.
Cette activité qui s’intègre désormais dans le cahier de charges des conseillers agricoles chargés de l’encadrement des producteurs de coton, sera menée avec l’appui de la fédération des producteurs de Coton de Côte d’Ivoire (FPC-CI).
La promotion de la contractualisation entre propriétaires terriens et agriculteurs s’inscrit dans l’objectif du projet «Action d’accélération de l’application de la loi relative au domaine du foncier rural dans le bassin cotonnier». Ce projet est piloté par INTETCOTON avec un financement de l’Union-Européenne dans le département de Mankono où la majorité des producteurs de coton sont des allochtones.
Le président de l’atelier, Koné Lassina, membre du conseil de surveillance de la FPC-CI, représentant le président de INTERCOTON, se réjouit de cette démarche qui contribuera à l’atteinte de l’objectif de l’Etat de faire de la Côte d’Ivoire le premier pays producteur de coton en Afrique de l’Ouest.
nbf/kam