Une Supercoupe de la Caf (1999), 2 finales de Coupe d’Afrique des nations (2006 et 2012), un titre de champion d’Afrique (2015), 2 Coupes de Belgique (2012 et 2014) et un titre de Meilleur gardien de but de Belgique (2009).
Après une carrière de footballeur bien remplie, Copa Barry a mis fin à sa carrière sportive. Désormais, le joueur formé à l’Académie Mimosifcom exerce en tant qu’entraineur des gardiens de but, au club belge de Louvain (2e Division). Pour «Le Nouveau Réveil», le héros de Bata évoque les Eléphants et la Can 2019.
Comment tu vis ta reconversion ?
Très bien. Pour moi, c’est la suite de ma carrière que je pouvais espérer et je ne demande qu’à progresser. Et pourquoi pas remporter d’autres trophées en étant, cette fois-ci, de l’autre côté du stade.
Ça faisait partie de tes plans de fin de carrière ?
Un plan, pas vraiment ! Mais ça faisait partie de mes souhaits. Grâce à Dieu, ça s’est réalisé.
La prochaine Can, en Egypte, se jouera à 24 équipes. Quel est ton commentaire ?
C’est une première. C’est presque un pays sur 2 qui sera représenté. On aura droit à plus de jeux, plus de sensations, en tant que spectateurs, et passionnés de foot. Et que le meilleur gagne.
La Côte d’Ivoire est dans le groupe D avec le Maroc, l’Afrique du Sud et la Namibie. Comment tu juges cette poule ?
Le Maroc est un adversaire habituel de la Côte d’Ivoire. L’Afrique du sud est un géant et la Namibie pourrait surprendre. La Côte d’Ivoire reste l’une des plus grandes équipes du continent. Je pense que ce sera une poule pleine de rebondissements car les équipes se valent.
Comment tu juges la sélection ivoirienne aujourd’hui et qu’est-ce que tu penses de l’absence d’Éric Bailly ?
Je ne souhaite pas porter de jugement, car chaque équipier présent l’est par mérite. Et c’est du ressort du sélectionneur de mieux justifier ses choix. Eric Bailly reste un grand joueur.
Penses-tu que les Éléphants peuvent gagner cette Can ?
Oui, j’y crois. Les joueurs ont du potentiel. Avec l’union, une force, la discipline, une lumière et le travail, le chemin qui va les amener au succès, ils pourront trouver le chemin du filet. Nous avons une bonne équipe avec une grosse marge de progression.
Quels sont tes favoris ?
Il est évident que ce sont les Eléphants mes favoris. Éléphant un jour, Eléphant pour toujours, n’est-ce pas! Allez les Éléphants ! (rires)
Entretien réalisé par EUSTACHE GNABA
Après une carrière de footballeur bien remplie, Copa Barry a mis fin à sa carrière sportive. Désormais, le joueur formé à l’Académie Mimosifcom exerce en tant qu’entraineur des gardiens de but, au club belge de Louvain (2e Division). Pour «Le Nouveau Réveil», le héros de Bata évoque les Eléphants et la Can 2019.
Comment tu vis ta reconversion ?
Très bien. Pour moi, c’est la suite de ma carrière que je pouvais espérer et je ne demande qu’à progresser. Et pourquoi pas remporter d’autres trophées en étant, cette fois-ci, de l’autre côté du stade.
Ça faisait partie de tes plans de fin de carrière ?
Un plan, pas vraiment ! Mais ça faisait partie de mes souhaits. Grâce à Dieu, ça s’est réalisé.
La prochaine Can, en Egypte, se jouera à 24 équipes. Quel est ton commentaire ?
C’est une première. C’est presque un pays sur 2 qui sera représenté. On aura droit à plus de jeux, plus de sensations, en tant que spectateurs, et passionnés de foot. Et que le meilleur gagne.
La Côte d’Ivoire est dans le groupe D avec le Maroc, l’Afrique du Sud et la Namibie. Comment tu juges cette poule ?
Le Maroc est un adversaire habituel de la Côte d’Ivoire. L’Afrique du sud est un géant et la Namibie pourrait surprendre. La Côte d’Ivoire reste l’une des plus grandes équipes du continent. Je pense que ce sera une poule pleine de rebondissements car les équipes se valent.
Comment tu juges la sélection ivoirienne aujourd’hui et qu’est-ce que tu penses de l’absence d’Éric Bailly ?
Je ne souhaite pas porter de jugement, car chaque équipier présent l’est par mérite. Et c’est du ressort du sélectionneur de mieux justifier ses choix. Eric Bailly reste un grand joueur.
Penses-tu que les Éléphants peuvent gagner cette Can ?
Oui, j’y crois. Les joueurs ont du potentiel. Avec l’union, une force, la discipline, une lumière et le travail, le chemin qui va les amener au succès, ils pourront trouver le chemin du filet. Nous avons une bonne équipe avec une grosse marge de progression.
Quels sont tes favoris ?
Il est évident que ce sont les Eléphants mes favoris. Éléphant un jour, Eléphant pour toujours, n’est-ce pas! Allez les Éléphants ! (rires)
Entretien réalisé par EUSTACHE GNABA