Abidjan - Le ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Bakayoko-Ly Ramata, a effectué, vendredi, une visite de terrain à Yopougon, pour s’imprégner des activités des enfants en conflits avec la loi, réinsérés dans différents secteurs d’activités.
« Nous avons visité sept bénéficiaires exerçant dans la mécanique, la soudure, la couture et l’électricité auto, reparti dans six garages et ateliers. L’objectif de cette visite est d’échanger avec les bénéficiaires réinsérés et leurs formateurs, afin de mieux s’imprégner de leur situation sur leurs lieux d’activité », a expliqué Mme Bakayoko.
«Tout ce que les formateurs nous ont dit, nous rassure. Nous voulons une jeunesse qui accompagne le travail du gouvernement. Ces enfants sont des exemples pour ceux qui sont encore dans la rue. Nous allons continuer de suivre les enfants », a-t-elle ajouté.
Le ministre a traduit la reconnaissance du gouvernement aux formateurs en leur signifiant qu’ils ont posé « un acte de haute portée sociale ».
« L’objectif fixé par le Premier ministre est zéro enfant en conflits avec la loi et zéro enfant dans la rue. Nous mettrons tout en œuvre pour l’atteindre. Il y va de l’avenir de la Côte d’Ivoire, de sa stabilité », a-t-elle assuré.
Après une période de six mois de resocialisation passée dans le centre de Ouakoukro de M’Bahiakro, la plupart des mineurs en difficulté avec la loi, au nombre de 350, ont été placés auprès des maîtres artisans tandis que d’autres sont retournés à l’école.
« Koné Issiaka est arrivé en 2017 pour se former en électricité-auto. Aujourd’hui, il fait seul des dépannages. Il a fait aussi son permis de conduire. Cela nous encourage à aider plus de jeunes encore », a témoigné le formateur, Koné Inza, dans son garage à Yopougon Ananerais.
Quant à Koné Ibrahim, inséré le 28 septembre 2017, dans un atelier de couture à Port-Bouët II, il sait coudre des chemises et des pantalons, selon son formateur-tuteur, Mahamadou Sanogo.
Fin juin 2018, 521 enfants étaient présents dans le dispositif, date des dernières activités du Programme de resocialisation des mineurs en difficulté avec la loi (PRMDL).
(AIP)
ena/fmo
« Nous avons visité sept bénéficiaires exerçant dans la mécanique, la soudure, la couture et l’électricité auto, reparti dans six garages et ateliers. L’objectif de cette visite est d’échanger avec les bénéficiaires réinsérés et leurs formateurs, afin de mieux s’imprégner de leur situation sur leurs lieux d’activité », a expliqué Mme Bakayoko.
«Tout ce que les formateurs nous ont dit, nous rassure. Nous voulons une jeunesse qui accompagne le travail du gouvernement. Ces enfants sont des exemples pour ceux qui sont encore dans la rue. Nous allons continuer de suivre les enfants », a-t-elle ajouté.
Le ministre a traduit la reconnaissance du gouvernement aux formateurs en leur signifiant qu’ils ont posé « un acte de haute portée sociale ».
« L’objectif fixé par le Premier ministre est zéro enfant en conflits avec la loi et zéro enfant dans la rue. Nous mettrons tout en œuvre pour l’atteindre. Il y va de l’avenir de la Côte d’Ivoire, de sa stabilité », a-t-elle assuré.
Après une période de six mois de resocialisation passée dans le centre de Ouakoukro de M’Bahiakro, la plupart des mineurs en difficulté avec la loi, au nombre de 350, ont été placés auprès des maîtres artisans tandis que d’autres sont retournés à l’école.
« Koné Issiaka est arrivé en 2017 pour se former en électricité-auto. Aujourd’hui, il fait seul des dépannages. Il a fait aussi son permis de conduire. Cela nous encourage à aider plus de jeunes encore », a témoigné le formateur, Koné Inza, dans son garage à Yopougon Ananerais.
Quant à Koné Ibrahim, inséré le 28 septembre 2017, dans un atelier de couture à Port-Bouët II, il sait coudre des chemises et des pantalons, selon son formateur-tuteur, Mahamadou Sanogo.
Fin juin 2018, 521 enfants étaient présents dans le dispositif, date des dernières activités du Programme de resocialisation des mineurs en difficulté avec la loi (PRMDL).
(AIP)
ena/fmo