Dimbokro- Un atelier de renforcement des capacités des membres des comités du mécanisme de règlement des plaintes (MRP) du REDD+ s'est ouvert, mardi à Dimbokro, sous la présidence du préfet par intérim du prépartement, Soro Sana.
La Côte d’Ivoire a adhéré en 2011 au mécanisme de réduction des émissions de gaz à effet de serre issues de la déforestation et de la dégradation des forêts pour contribuer à la lutte contre le changement climatique et tenter une restauration de son couvert végétal d’au moins 20% d’ici 2030. En vue de prévenir et gérer de manière rationnelle et à l’amiable, les plaintes et conflits potentiels liés à la mise en œuvre des projets et activités des comités ont été créés, rappelle-ton.
Selon le chef de la mission REDD+, Gongbei Gonsan Mathieu, cet atelier qui s’inscrit dans la poursuite du processus d’opérationnalisation des comités suite à leur installation, va, durant quatre jours, permettre la formation des membres des comités à la prévention, la médiation et la gestion des plaintes/conflits dans le cadre du mécanisme REDD+.
Saluant la présence des membres des 10 comités traditionnels, villageois, sous-préfectoraux, départementaux et régionaux à cet atelier qui permettra de les « outiller à mieux jouer leur rôle de médiateur et d’arbitre dans la gestion des conflits » , le préfet Soro a exhorté à suivre les enseignements qui conditionneront leur performance sur le terrain.
Plusieurs communications notamment le Programme d’investissement forestier (PIF), les instruments de sauvegardes de la REDD+, la gestion des conflits, l’approche projet REDD+ seront dites au cours de ce séminaire initié par le secrétariat exécutif permanant REDD+ avec l’appui de l’Office des parcs et réserves et de la Sodefor et qui prend fin vendredi.
ik/tm
La Côte d’Ivoire a adhéré en 2011 au mécanisme de réduction des émissions de gaz à effet de serre issues de la déforestation et de la dégradation des forêts pour contribuer à la lutte contre le changement climatique et tenter une restauration de son couvert végétal d’au moins 20% d’ici 2030. En vue de prévenir et gérer de manière rationnelle et à l’amiable, les plaintes et conflits potentiels liés à la mise en œuvre des projets et activités des comités ont été créés, rappelle-ton.
Selon le chef de la mission REDD+, Gongbei Gonsan Mathieu, cet atelier qui s’inscrit dans la poursuite du processus d’opérationnalisation des comités suite à leur installation, va, durant quatre jours, permettre la formation des membres des comités à la prévention, la médiation et la gestion des plaintes/conflits dans le cadre du mécanisme REDD+.
Saluant la présence des membres des 10 comités traditionnels, villageois, sous-préfectoraux, départementaux et régionaux à cet atelier qui permettra de les « outiller à mieux jouer leur rôle de médiateur et d’arbitre dans la gestion des conflits » , le préfet Soro a exhorté à suivre les enseignements qui conditionneront leur performance sur le terrain.
Plusieurs communications notamment le Programme d’investissement forestier (PIF), les instruments de sauvegardes de la REDD+, la gestion des conflits, l’approche projet REDD+ seront dites au cours de ce séminaire initié par le secrétariat exécutif permanant REDD+ avec l’appui de l’Office des parcs et réserves et de la Sodefor et qui prend fin vendredi.
ik/tm