Bouaké, Un atelier bilan de la mutualisation de la production de semences de coton au titre de la première campagne 2018-2019 s’est ouvert, mercredi, à Bouaké, avec la participation des différents acteurs de la filière.
Il s’agira au cours de cet atelier de faire le bilan de la campagne qui s’achève au niveau de la production de semences et de préparer la prochaine campagne.
Les travaux ont débuté par la présentation des bilans des trois sociétés cotonnière, à savoir, IVOIRE COTON, SECO-SA et COIC-SA. Chacune des trois sociétés a présenté ses résultats obtenus au titre de la première campagne (2018-2019) de multiplication des deux variétés de semences à savoir, SICAMA V1 et GOUASSOU F1 en génération G3 mises à leur disposition depuis avril 2018, dans la cadre du schéma de mutualisation de la production de la semence coton. Elles ont annoncé aussi le dispositif mis en place pour la production des semences de qualité et en quantité suffisante au titre de la campagne 2019-2020.
Les deux variétés SICAMA V1 et GOUASSOU F1 en génération G3 ont été remises à ces sociétés prestataires pour la multiplication en génération R1. Pour la prochaine campagne 2019-2020, ces variétés en génération R1 seront multipliées en génération R2 afin d’être distribuées à toutes les sociétés cotonnières pour le compte de la filière.
Au cours cet atelier il sera aussi question de présenter des résultats des missions de suivi et évaluation et de ceux du groupe de travail relatif à la production de semences. Puis seront formulées des recommandations pour des améliorations futures.
L’atelier des acteurs de la filière tenu en avril 2018, à Bouaké, avait retenu, sur la base des conclusions d’une étude diagnostic effectuée dans les zones cotonnières, les régions de la Bagoué, du Poro et du Tchologo (du nord) ainsi que les trois sociétés cotonnières IVOIRE COTON, SECO-SA et COIC-SA pour la multiplication des semences dans le schéma de mutualisation.
Ces deux premières variétés de semences de coton utilisées dans ce schéma ont été mises au point par le Centre national de recherche agronomique (CNRA) dans le cadre du Projet de relance de la recherche cotonnière (PRRC).
D’un coût de plus de deux milliards de FCFA, ce projet a été financé par l’Union Européenne et l’Etat ivoirien respectivement à 78,48% et 21,52% pour l’amélioration du revenu du producteur
(AIP)
nbf/tm
Il s’agira au cours de cet atelier de faire le bilan de la campagne qui s’achève au niveau de la production de semences et de préparer la prochaine campagne.
Les travaux ont débuté par la présentation des bilans des trois sociétés cotonnière, à savoir, IVOIRE COTON, SECO-SA et COIC-SA. Chacune des trois sociétés a présenté ses résultats obtenus au titre de la première campagne (2018-2019) de multiplication des deux variétés de semences à savoir, SICAMA V1 et GOUASSOU F1 en génération G3 mises à leur disposition depuis avril 2018, dans la cadre du schéma de mutualisation de la production de la semence coton. Elles ont annoncé aussi le dispositif mis en place pour la production des semences de qualité et en quantité suffisante au titre de la campagne 2019-2020.
Les deux variétés SICAMA V1 et GOUASSOU F1 en génération G3 ont été remises à ces sociétés prestataires pour la multiplication en génération R1. Pour la prochaine campagne 2019-2020, ces variétés en génération R1 seront multipliées en génération R2 afin d’être distribuées à toutes les sociétés cotonnières pour le compte de la filière.
Au cours cet atelier il sera aussi question de présenter des résultats des missions de suivi et évaluation et de ceux du groupe de travail relatif à la production de semences. Puis seront formulées des recommandations pour des améliorations futures.
L’atelier des acteurs de la filière tenu en avril 2018, à Bouaké, avait retenu, sur la base des conclusions d’une étude diagnostic effectuée dans les zones cotonnières, les régions de la Bagoué, du Poro et du Tchologo (du nord) ainsi que les trois sociétés cotonnières IVOIRE COTON, SECO-SA et COIC-SA pour la multiplication des semences dans le schéma de mutualisation.
Ces deux premières variétés de semences de coton utilisées dans ce schéma ont été mises au point par le Centre national de recherche agronomique (CNRA) dans le cadre du Projet de relance de la recherche cotonnière (PRRC).
D’un coût de plus de deux milliards de FCFA, ce projet a été financé par l’Union Européenne et l’Etat ivoirien respectivement à 78,48% et 21,52% pour l’amélioration du revenu du producteur
(AIP)
nbf/tm