Le gouvernement ivoirien a appelé, mercredi, les acteurs universitaires « à privilégier le dialogue et la négociation comme modes de prévention et de règlement des crises », en réponse à l’appel à une nouvelle grève lancée par la Coordination nationale des enseignants-chercheurs et chercheurs de Côte d'Ivoire (CNEC) au sein des universités publiques du pays.
Selon le ministre de la communication et des médias, Sidi Tiémoko Touré, Porte-parole du gouvernement, « au 21 mai 2019, le mot d’ordre de grève reste peu suivi même si des perturbations de cours sont à déplorer à l’Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB) ainsi qu’à l’Université Jean Lorougnon Guédé de Daloa (Centre-ouest)».
La voie du dialogue est proposée à la suite des récurrentes grèves qui minent le secteur scolaire et universitaire par les autorités ivoiriennes.
« Face à cette situation, le Gouvernement invite les acteurs universitaires à privilégier le dialogue et la négociation comme modes de prévention et de règlement des crises afin de parvenir à des solutions favorables au déroulement normal des cours dans l’ensemble des universités publiques du pays », a-t-il insisté.
Au chapitre des revendications de cette coordination figurent l’obtention de « des meilleures conditions de travail et une revalorisation des salaires, des primes de recherche, d’encadrement et de soutenance».
La CNEC dénonce le mode de désignation des autorités universitaires, rejette les taux des heures complémentaires et déplore le refus de la présidence de l’Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB) d’alléger les sanctions disciplinaires prises à l’encontre de certains de leurs militants.
SY/ls/APA
Selon le ministre de la communication et des médias, Sidi Tiémoko Touré, Porte-parole du gouvernement, « au 21 mai 2019, le mot d’ordre de grève reste peu suivi même si des perturbations de cours sont à déplorer à l’Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB) ainsi qu’à l’Université Jean Lorougnon Guédé de Daloa (Centre-ouest)».
La voie du dialogue est proposée à la suite des récurrentes grèves qui minent le secteur scolaire et universitaire par les autorités ivoiriennes.
« Face à cette situation, le Gouvernement invite les acteurs universitaires à privilégier le dialogue et la négociation comme modes de prévention et de règlement des crises afin de parvenir à des solutions favorables au déroulement normal des cours dans l’ensemble des universités publiques du pays », a-t-il insisté.
Au chapitre des revendications de cette coordination figurent l’obtention de « des meilleures conditions de travail et une revalorisation des salaires, des primes de recherche, d’encadrement et de soutenance».
La CNEC dénonce le mode de désignation des autorités universitaires, rejette les taux des heures complémentaires et déplore le refus de la présidence de l’Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB) d’alléger les sanctions disciplinaires prises à l’encontre de certains de leurs militants.
SY/ls/APA