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Après la remise le 21 mai 2019 des bâtiments du centre de formation de Korhogo réhabilités par l’organisation des nations unies pour le développement de l’industrie (ONUDI) et l’Union Européenne, son directeur Soro Salifou a exprimé sa gratitude aux autorités et aux partenaires au développement.
« Nous prenons l’engagement de nous montrer digne de ces efforts en prenant bon soin des locaux réhabilités et en utilisant avec rationalité et efficacité les équipements acquis. Que l’impact de ce nouveau départ se ressente sur les résultats de nos stagiaires et sur le taux de leur insertion professionnelle », a-t-il promis.
Soro a ensuite indiqué que « nous apprécions à leur, juste valeur les travaux réalisés et les équipements mis à notre disposition. Notre établissement étant dans un état de dégradation très avancée, nous nous empressons de plaider la poursuite de cet élan de rénovation voire l’extension. Il faut engager une maintenance régulière des machines et nous plaidons toujours auprès du gouvernement, des bailleurs de fonds, des opérateurs économiques locaux, aux entreprises implantées dans la région du poro et des autres régions de l’ex district des savanes pour que du soutien soit apporté à l’établissement qui permet aujourd’hui de former efficacement les jeunes et les mettre en situation de travail, et pour nous accompagner dans le nouveau système de gouvernance des établissements de formation professionnelle. La lutte contre le chômage des jeunes, l’employabilité des apprenants et la performance du tissu industriel local et national à ce prix » a souligné le directeur du CFP de Korhogo.
Le directeur du CFP a en effet conclu par un chapelet de doléances, dont une citation d’un proverbe africain « c’est lorsqu’il part à la rivière pour se désaltérer que l’éléphant profite pour laver sa trompe … nous voulons la construction d’une clôture adéquate en vue de réduire les risques d’insécurités et favoriser une meilleure protection des personnes et du matériel de pointe , la réhabilitation des bâtiments de l’internat et leur équipement afin d’offrir aux stagiaires des conditions de vie décentes et stimulantes, réhabilitation des aires de jeux pour la promotion du sport source d’épanouissement et d’équilibre, achèvement de la salle informatique nécessaire à l’ouverture sur le monde et à la quête des technologies nouvelles ».
Le centre de formation professionnelles de Korhogo a servi de cadre à des formations qualifiantes qui ont permis de former 04 vagues de 286 stagiaires dont 49 filles soit 17%, puis de la réhabilitation et de l’équipement des bâtiments de l’administration, des bâtiments de salle de classe, la salle informatique et de 04 ateliers de formation. Ces ateliers concernent la mécanique générale, la construction métallique, l’électricité d’équipement et l’électricité bâtiment.
La remise des infrastructures de formation professionnelle s’est déroulée en présence du représentant de l’ONUDI Tidiane Boye, du représentant U.E, du représentant Michel Laloge , de Ambehm Kouassi Jonas , représentant du ministre ivoirien de l’éducation nationale et de l’enseignement professionnel Kandia Camara , des élus locaux, chefs coutumiers, des dignitaires religieux…
Aly O (à Korhogo)
« Nous prenons l’engagement de nous montrer digne de ces efforts en prenant bon soin des locaux réhabilités et en utilisant avec rationalité et efficacité les équipements acquis. Que l’impact de ce nouveau départ se ressente sur les résultats de nos stagiaires et sur le taux de leur insertion professionnelle », a-t-il promis.
Soro a ensuite indiqué que « nous apprécions à leur, juste valeur les travaux réalisés et les équipements mis à notre disposition. Notre établissement étant dans un état de dégradation très avancée, nous nous empressons de plaider la poursuite de cet élan de rénovation voire l’extension. Il faut engager une maintenance régulière des machines et nous plaidons toujours auprès du gouvernement, des bailleurs de fonds, des opérateurs économiques locaux, aux entreprises implantées dans la région du poro et des autres régions de l’ex district des savanes pour que du soutien soit apporté à l’établissement qui permet aujourd’hui de former efficacement les jeunes et les mettre en situation de travail, et pour nous accompagner dans le nouveau système de gouvernance des établissements de formation professionnelle. La lutte contre le chômage des jeunes, l’employabilité des apprenants et la performance du tissu industriel local et national à ce prix » a souligné le directeur du CFP de Korhogo.
Le directeur du CFP a en effet conclu par un chapelet de doléances, dont une citation d’un proverbe africain « c’est lorsqu’il part à la rivière pour se désaltérer que l’éléphant profite pour laver sa trompe … nous voulons la construction d’une clôture adéquate en vue de réduire les risques d’insécurités et favoriser une meilleure protection des personnes et du matériel de pointe , la réhabilitation des bâtiments de l’internat et leur équipement afin d’offrir aux stagiaires des conditions de vie décentes et stimulantes, réhabilitation des aires de jeux pour la promotion du sport source d’épanouissement et d’équilibre, achèvement de la salle informatique nécessaire à l’ouverture sur le monde et à la quête des technologies nouvelles ».
Le centre de formation professionnelles de Korhogo a servi de cadre à des formations qualifiantes qui ont permis de former 04 vagues de 286 stagiaires dont 49 filles soit 17%, puis de la réhabilitation et de l’équipement des bâtiments de l’administration, des bâtiments de salle de classe, la salle informatique et de 04 ateliers de formation. Ces ateliers concernent la mécanique générale, la construction métallique, l’électricité d’équipement et l’électricité bâtiment.
La remise des infrastructures de formation professionnelle s’est déroulée en présence du représentant de l’ONUDI Tidiane Boye, du représentant U.E, du représentant Michel Laloge , de Ambehm Kouassi Jonas , représentant du ministre ivoirien de l’éducation nationale et de l’enseignement professionnel Kandia Camara , des élus locaux, chefs coutumiers, des dignitaires religieux…
Aly O (à Korhogo)
