Abengourou, Une quarantaine de pisciculteurs, membres de la fédération des acteurs privés piscicoles de l’Est (FAPPE), ont pris part mercredi et jeudi à Abengourou à un atelier de formation sur les techniques de grossissement du poisson (tilapia) et la gestion des plateformes d’innovation.
Cette session de formation, qui s’inscrivait dans le cadre de la composante aquaculture du projet de développement des technologies pour la transformation de l’agriculture africaine (TAAT) financé par la BAD, vise à transmettre des connaissances techniques théoriques aux pisciculteurs.
Il s’agissait plus exactement de les former en techniques de production d’un poisson marchand, de mettre en évidence les aspects de gestion et de planification ainsi que les bonnes pratiques piscicoles. Il s’agit, en outre, de former ces pisciculteurs sur le fonctionnement et la gestion des plateformes d’innovation telles que la FAPPE qui regroupe l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeurs de la pisciculture.
« En Côte d’Ivoire, à peine 20 à 30% des besoins en poisson sont couverts par la production nationale. Nous ambitionnons à travers ce projet de booster la productivité de nos parents pisciculteurs en leur apportant un appui technique », a indiqué Dr. Kouassi Cyril, chef du programme pêche et aquaculture continentale du centre national de recherche agronomique (CNRA).
Le président de la FAPPE, Maurice Sawadogo, s’est réjoui de l’organisation de cet atelier de renforcement des capacités qui va leur permettre d’accroître leur production annuelle qui est aujourd’hui de 162 tonnes. « Cette formation est la bienvenue, car nous attendions qu’on nous apporte cette technologie de la BAD afin de multiplier par 5 notre production qui est aujourd’hui à 162 tonnes par an », a-t-il indiqué.
Outre la formation théorique, les participants à cet atelier ont visité la ferme piscicole d’Aniassué qui est à la fois une unité de transformation d’aliment granulé flottant de poisson et de production d’alevins améliorés.
(AIP)
rkk
Cette session de formation, qui s’inscrivait dans le cadre de la composante aquaculture du projet de développement des technologies pour la transformation de l’agriculture africaine (TAAT) financé par la BAD, vise à transmettre des connaissances techniques théoriques aux pisciculteurs.
Il s’agissait plus exactement de les former en techniques de production d’un poisson marchand, de mettre en évidence les aspects de gestion et de planification ainsi que les bonnes pratiques piscicoles. Il s’agit, en outre, de former ces pisciculteurs sur le fonctionnement et la gestion des plateformes d’innovation telles que la FAPPE qui regroupe l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeurs de la pisciculture.
« En Côte d’Ivoire, à peine 20 à 30% des besoins en poisson sont couverts par la production nationale. Nous ambitionnons à travers ce projet de booster la productivité de nos parents pisciculteurs en leur apportant un appui technique », a indiqué Dr. Kouassi Cyril, chef du programme pêche et aquaculture continentale du centre national de recherche agronomique (CNRA).
Le président de la FAPPE, Maurice Sawadogo, s’est réjoui de l’organisation de cet atelier de renforcement des capacités qui va leur permettre d’accroître leur production annuelle qui est aujourd’hui de 162 tonnes. « Cette formation est la bienvenue, car nous attendions qu’on nous apporte cette technologie de la BAD afin de multiplier par 5 notre production qui est aujourd’hui à 162 tonnes par an », a-t-il indiqué.
Outre la formation théorique, les participants à cet atelier ont visité la ferme piscicole d’Aniassué qui est à la fois une unité de transformation d’aliment granulé flottant de poisson et de production d’alevins améliorés.
(AIP)
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