Le programme de gestion du littoral Ouest Africain a initié un atelier d’information et de sensibilisation du secteur privé ce jeudi 13 juin à Abidjan. Il s’est agi in fine, de collecter les manifestations d’intérêts des acteurs du secteur privé sur ce phénomène.
En effet, le littoral ouest-africain est notamment affecté par l’érosion côtière et l’utilisation du sable qui favorise l’avancée de la mer. Par ailleurs, la fragilisation des côtes par la pression anthropique avec l’élévation du niveau de la mer, provoque un recul moyen de un à trois mètres par an. "Le projet d’investissement pour la résilience des zones ouest africaines lancé par la Banque Mondiale s’avère être un début de réponse aux défis environnementaux", a déclaré Koutouan Claude, président de la commission E-QHSE de la CGECI. Le représentant du patronat ivoirien a présenté les actions que mènent les entreprises ivoiriennes sur la question: La recherche de financement vert au profit des membres pour les domaines relatifs à l’énergie, la sécurité et l’environnement, l’amélioration du cadre réglementaire national en matière d’énergie.
Pour sa part, le professeur Ochou Abé Delfin, coordonnateur du projet d’investissement pour la résilience des zones ouest africaines (WACA-ReSIP) a présenté le projet et ses attentes. Avec un financement de 15,8 milliards de FCFA pour une durée de 5 ans, le projet WACA vise à renforcer la résilience des communautés et des zones ciblées de la zone côtière ouest africaine. Le professeur Ochou Abé Delfin a également situé les enjeux de la rencontre du jour. "Le secteur privé ivoirien est très présent sur le zones côtières, dans ce sens son implication et son engagement apparaissent comme une priorité pour la lutte contre l’érosion côtière et les impacts des changements climatiques" a fait savoir le coordonnateur du projet.
Melissa Landez et Elikia Abraham de la Banque mondiale ont pour terminer présenté encore une fois les enjeux de ce projet. Notons que Six (06) pays africains, le Bénin, la Côte d’Ivoire, la Mauritanie, São Tomé et Príncipe, le Sénégal et le Togo bénéficient de ce programme WACA.
DA
En effet, le littoral ouest-africain est notamment affecté par l’érosion côtière et l’utilisation du sable qui favorise l’avancée de la mer. Par ailleurs, la fragilisation des côtes par la pression anthropique avec l’élévation du niveau de la mer, provoque un recul moyen de un à trois mètres par an. "Le projet d’investissement pour la résilience des zones ouest africaines lancé par la Banque Mondiale s’avère être un début de réponse aux défis environnementaux", a déclaré Koutouan Claude, président de la commission E-QHSE de la CGECI. Le représentant du patronat ivoirien a présenté les actions que mènent les entreprises ivoiriennes sur la question: La recherche de financement vert au profit des membres pour les domaines relatifs à l’énergie, la sécurité et l’environnement, l’amélioration du cadre réglementaire national en matière d’énergie.
Pour sa part, le professeur Ochou Abé Delfin, coordonnateur du projet d’investissement pour la résilience des zones ouest africaines (WACA-ReSIP) a présenté le projet et ses attentes. Avec un financement de 15,8 milliards de FCFA pour une durée de 5 ans, le projet WACA vise à renforcer la résilience des communautés et des zones ciblées de la zone côtière ouest africaine. Le professeur Ochou Abé Delfin a également situé les enjeux de la rencontre du jour. "Le secteur privé ivoirien est très présent sur le zones côtières, dans ce sens son implication et son engagement apparaissent comme une priorité pour la lutte contre l’érosion côtière et les impacts des changements climatiques" a fait savoir le coordonnateur du projet.
Melissa Landez et Elikia Abraham de la Banque mondiale ont pour terminer présenté encore une fois les enjeux de ce projet. Notons que Six (06) pays africains, le Bénin, la Côte d’Ivoire, la Mauritanie, São Tomé et Príncipe, le Sénégal et le Togo bénéficient de ce programme WACA.
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